Lu dans Minute :
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: C’est le nombre d’agences de l’Etat,
parfaitement inutiles, qui emploient
en France 450000 personnes pour
un coût annuel de… 50 milliards d’euros!
Les organismes de santé y règnent sur le
royaume des doublons. Ainsi, l’ANAP
(Agence nationale d’appui à la performance
des établissements de santé et médicosociaux),
la HAS (Haute autorité de santé)
et l’ANESM (Agence nationale de l’évaluation
et de la qualité des établissements et
services sociaux et médico-sociaux) sont
toutes chargées des « recommandations »
médicales, sans que leurs compétences ne
soient pourtant évidentes…Il existe aussi des officines tout à fait
mystérieuses et fantaisistes, comme, par
exemple, l’Agence bibliographique de l’enseignement
supérieur, l’Agence de développement
de la culture kanak (!), le Centre
des liaisons européennes et internationales
de sécurité sociale…
Les salaires, dans ces agences d’Etat,
sont en moyenne de 5 % supérieurs à ceux
du reste de l’administration et augmentent
deux fois plus vite; leurs dirigeants gagnent
environ 150000 euros par an, avec un pic à
400000! Le minuscule Conseil national de
la vie lycéenne (CNVL), composé de 33
lycéens, reçoit, lui, 15000 euros par an! Un
peu cher pour se réunir une ou deux fois
par an, après le cours de math? C’est ce
que pense René Dosière, député de l’Aisne,
qui a recensé ces gouffres à fric dans
L’Etat au régime, gaspiller moins pour
dépenser mieux (éd. du Seuil). On notera
que l’auteur, bien que socialiste, a été réélu
sans avoir été investi par le parti lors des
dernières législatives. Le prix de l’indépendance?"
PK
À quand la nuit du 4 août pour la République des copains ?
laure
et après on ferme des services dans les sous préfectures pour des histoires de crédit (genre changement de carte grise…hein, un service peu utile!!!)…. et on développe la racket via le garagiste qui vous fait l’opération à la place de la sous préfecture pour 17 euros….facile émile!
Une bibliothécaire pas très contente
Ne confondons pas tout !
L’Agence bibliographique de l’enseignement supérieur (l’ABES, http://www.abes.fr), n’a rien de mystérieux ou fantaisiste. Elle gère, entre autres, le catalogue collectif “Sudoc”, utilisé par tous les étudiants, professeurs et chercheurs, qui recense plus de 10 millions de notices de livres, revues, etc., et auquel participent plus de 3000 bibliothèques dont d’ailleurs des bibliothèques diocésaines, de séminaires, d’abbayes voire de congrégations diverses : http://www.sudoc.abes.fr