Vendredi, j’avais noté le laxisme dont faisait preuve la justice à l’égard du directeur des Beaux-Arts qui avait organisé il y a déjà 6 ans une exposition ignoble à caractère pornographique ouverte à tout public. Daoudal donnait plus de détails sur cette exposition intitulée "Présumés innocents. L’art contemporain et l’enfance".
Aujourd’hui, Libération, dans une pleine double page, prend la défense des artistes et du responsable de l’exposition en criant à la sacro-sainte liberté d’expression et en traitant les associations de défense de l’enfance de "talibans", sous prétexte que "l’art doit déranger". On voit ainsi que, malgré le départ de Serge July, le quotidien anarcho-bobo en faillite n’a pas rompu avec son sulfureux passé, quand il se faisait le porte-voix de mouvements tels que le Front de libération des pédophiles et quand ses journalistes étaient inculpés pour outrages aux bonnes moeures et incitation à la débauche.
maclepi
Les journalistes de Libération sont des pro-morts.
Le jour où ils seront pro-vie, ce sera une libération !
Le malheur, ou plutôt le malaise aujourd’hui, nous le voyons bien, c’est que les artistes (ou du moins ceux qui veulent parfois se faire passer pour des artistes) ne sont pas déranger par la pornographie, parce qu’ils aiment cela. Et par conséquent, ils s’en “foutent” (pardonnez-moi l’expression) des enfants qui, pour eux, ne devraient pas être choqués, puisque vivant dans une société où ils voient beaucoup d’affiches à caractère pornographique.
Ces pseudo-artistes doivent penser que les enfants sont accoutumés à la pornographie !
Existe-t-il de vrais artistes qui pourraient prendre la parole à haute voix et clairement en condamnant cette exposition destructrice pour la jeunesse ?