Dans Libération, François Sergent écrit :
"Comme l’a dit Barack Obama hier soir commentant la proposition russe de désarmer la Syrie de ses stocks chimiques : «C’est possible si c’est réel.» Piège
grossier ou coup de génie diplomatique, l’offre soviétique, aussi vague
soit-elle à cette heure, a bloqué la marche à la guerre, une marche
déjà bien embourbée." (via)
Stephe
Cette atmosphère va devenir de plus en plus irrespirable car toute cette clique de fascistes vert/rouge va devenir de plus en plus hargneuse en raison de l’extrême impopularité du régime qui échoue dans tous les domaines et qui n’aura d’autre échappatoire que de semer la peur en lachant ses chiens de garde.
Léa
Libération, ce phare de l’inculture bobo, n’est pas seul à traiter les Russes de “Soviets”. Les Américains n’arrivent pas non plus à s’extraire du contexte historique de la guerre froide : non seulement ils appellent les Russes Soviets, mais beaucoup croient que Poutine est un communiste.
Laurent Petit
ah ah ah , trop fort…
Il faudrait refaire un pastiche de “Tintin au pays de Hollande”
Jean-Jacques
Trop drôle : les enfants de Mao au secours de l’Oncle Sam ! Libération = aliénation à la loi du plus fort.
Philippe Aucazou
Et pourtant, Libération s’est ralliée au grand capital ! (ils sont détenus par rothschild)
bazin
Depuis quand Libération publie t il de l’information ?
Son audience est en chute libre car tout le monde sait que cette feuille de chou n’est qu’un organe de propagande grossier.
A dégager !
Gilles S.
@ Philippe Aucazou.
Attention à ne pas coloporter des idées reçues qui ne sont que partiellement exactes, voire essentiellement fausses. En 2012 et selon “Les patrons de la presse nationale – Tous mauvais” de Jean Stern (La Fabrique Éditions 2012 – p. 133), Edouard de Rothschild contrôlait 24,7 % du capital de Libération, et non la totalité ni même la majorité de celui-ci.
PK
@ Gilles S.
Il suffit d’être majoritaire dans les actionnaires (i.e. d’avoir la plus grosse part) pour diriger n’importe quelle entreprise.
De fait, Rothschild est le patron de Libération.
esox
C’est normal, les banques qui financent les journaux comme “Libération” sont les mêmes qui ont financé le communisme et ses dizaines de millions de morts.
Le soviétisme, ils en rêvent (enfin ils accomplissent même leurs rêves en dépossédant les français qui se retrouvent un à un SDF).