Le gouvernement argentin prend ses distances avec la vision d’Hugo Chavez qui demande à "la communauté internationale [de] rayer la guérilla colombienne des Farc de la liste des groupes terroristes".
"Il s’agit de la vision du président Chavez, nous, nous sommes simplement inquiets de ce que les gens [otages des Farc] recouvrent leur liberté et sommes [engagés] dans une mission humanitaire et non dans un processus politique"
Le numéro un du gouvernement, Alberto Fernandez, estime qu’il est nécessaire que la communauté internationale continue de demander le règlement de la question des otages, mais que "tout commentaire placé sur un autre registre ne peut que nuire à cet objectif"
Bernard Antony salue lui aussi, au nom de Chrétienté Solidarité, "l’action du président Uribe qui, avec détermination, refuse le chantage des criminels".