Sur le cas des FARC, François Sergent signe l’éditorial de Libération en ayant une ligne qui nous rappelle celle d’Alain Sanders, en moins complète.
"Leur tactique est de faire d’Alvaro Uribe le «méchant» de leur sinistre comédie, alors que le président colombien, deux fois élu, tente de mettre fin à cette guérilla qui gangrène son pays".
"Le dialogue entamé par le président Sarkozy ne doit pas être synonyme d’une reconnaissance des terroristes des Farc. Si pressions il doit y avoir, c’est sur les preneurs d’otages. Pas sur Uribe".
Réjouissons-nous de la libération d’otages, mais ne rêvons pas, les FARC restent des terroristes, branche armée du Parti Communiste Colombien.
pique-à-sots
les commentaires sur le President Alvaro Uribe révélent la decomposition mentale qui atteint bon nombre de nos pseudo-élites !
les FARC bénécient d’une sympathie mal dissimulée des mêmes, alors qu’il s’agit d’une mafia criminelle et sans aucune humanité n’hesitant pas à prendre ,conserver et torturer leurs semblables et en faire des objets de troc !
je ne me ferai jamais à la fascination qu’exerce sur nos “bobos” le dogme communiste en depit de ses crimes avérés !
phiconvers
Un très grand bravo à Libé ! Ce journal et Le Monde sont mille fois plus lucides sur ce dossier que l’exaspérant Figaro, qui devient plus que jamais la voix de Sarkozy.
Cet édito est très bien ficelé et, pour une fois, j’espère que Libé aura la plus large audience. A tous les lecteurs du Salon Beige, je recommande cet article de fin novembre sur Agoravox (http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=32155) et je demande de militer pour que les FARC ne profitent pas de l’odieuse réhabilitation que leur prépare Chavez.