Dans Le Figaro, Maxime Tandonnet, conseiller pour l’immigration au cabinet de Nicolas Sarkozy en 2005-2006, justifie l’idée d’un ministère de l’immigration et de l’identité nationale. Extraits :
"En 2003, après avoir plus que doublé en huit ans, [les flux migratoires] ont atteint un sommet (avant de s’orienter à la baisse) : 256 600 entrées régulières, plus 82 000 demandeurs d’asile, sans compter les enfants ni les clandestins. […]
Ce qui est en cause, c’est l’unité nationale. Un rapport des Renseignements généraux de juillet 2004 dénonce ainsi le morcellement du territoire national, dû à l’émergence de 630 cités sensibles dont 300 touchées par un « repli communautaire particulièrement spectaculaire », le rejet des lois de la République – qui s’exprime à travers la haine du policier -, la violence, la montée d’un racisme multiforme. Les revendications communautaristes sont en plein essor. À l’école, à l’hôpital, la mixité homme-femme est remise en cause. La polygamie touche 200000 personnes, 70000 jeunes filles sont menacées de mariage forcé."
Yves
Philippe DOUSTE-BLAZY
Jacques
et en plus de cela Sarkozy propose le vote des étrangesr… cherchez l’incohérence.
Et il devrait être au courant que les questions d’immigratiosn font parti des pouvoirs aspirés par Bruxelles:
j’ai écrit un post à ce sujet ce matin:http://chretiendanslacite.hautetfort.com/archive/2007/03/21/immigration-et-identite-nationale4.html
S.P
Une seule solution, celle de “l’externalisation” à savoir plus d’entrée venant de l’exterieur EU et sortie pour les irréguliers, ceux sans emploi, ceux qui ne respectent pas nos lois basiques (polygamie, prosélytes, hier dans le 92 j’ai croisé 4 femmes en noir totalement voilées et croyez moi cela fait peur! etc) et ceux qui sont délinquants.
C’est un remède de cheval, très difficile à avaler, mais c’est le seul permettant de revenir à une situation supportable dans tous les sens du terme et conforme aux limites qu’avaient définies dans sa grande sagesse et sans besoin de bases chiffrées, le Général de Gaulle .