Lors de la veillée de prière à Campo San Juan Pablo II au Panama, le pape François a déclaré :
Il est impossible que quelqu’un grandisse s’il n’a pas de racines fortes qui aident à être bien debout et enraciné dans la terre. Il est facile de se disperser, quand on n’a pas où s’attacher, où se fixer, s’il n’y a pas de lieu pour se fixer. Cela c’est une question que nous, adultes, sommes obligés de nous poser, nous adultes qui sommes ici, et plus encore, c’est une question que vous aurez à nous poser, que vous jeunes devrez nous faire à nous adultes, et à laquelle nous aurons le devoir de répondre : quelles racines nous donnons vous ? Quels fondements, pour vous construire comme personnes, nous fournissons vous? C’est une question pour nous adultes. Combien il est facile de critiquer les jeunes et de passer son temps à murmurer, si nous vous privons des opportunités de travail, éducatives et communautaires auxquelles vous raccrocher et rêver l’avenir. Sans instruction il est difficile de rêver l’avenir, sans travail, il est très difficile de rêver l’avenir, sans famille et sans communauté il est quasi impossible de rêver un avenir. Parce que rêver l’avenir, c’est apprendre non seulement pour quoi je vis, mais aussi pour qui je vis, pour qui il vaut la peine de dépenser ma vie. Et cela nous devons le favoriser, nous adultes, en vous donnant travail, instruction, communauté, opportunité.
Faliocha
Et à part ça, les migrants c’est trop bien…Janus à deux visages, comme d’habitude
philippe paternot
alors pourquoi sanctifier et surtout encourager les migrants à chercher un eldorado qu’on sait virtuel!