… mais uniquement contre les autorités russes. Ce sont les deux minutes de la haine que George Orwell avait évoqué dans son roman 1984.
Meta, la maison mère de Facebook et d’Instagram, a annoncé jeudi faire des exceptions à son règlement sur l’incitation à la violence et à la haine en ne supprimant pas des messages hostiles à l’armée et aux dirigeants russes.
«En raison de l’invasion russe de l’Ukraine, nous faisons preuve d’indulgence pour des formes d’expression politique qui enfreindraient normalement nos règles sur les discours violents telles que ‘mort aux envahisseurs russes». «Nous continuons de ne pas autoriser des appels crédibles à la violence contre des civils russes».
Que personne ne s’en prenne à Macronescu !
Bernard Mitjavile
Quand on pense que ces descendants du mouvement Peace and Love californien du siècle dernier qui parlaient sans cesse de liberté, sont devenus nos grands censeurs (les responsables de twitter, FB et compagnie) alors que précédemment, la censure n’avait jamais atteint un tel niveau international. On n’arrête pas le progrès.
D'Haussy
Qu’attendre d’autre de cette plateforme ?
F. JACQUEL
Et si on écrit “Mort au Bataillon d’Azov” ?
Meltoisan
Par exemple, pour le Gafam et les médias des USA en général, concernant la Hongrie :
“Vive Orbán !”, c’est interdit
“Vive Soros !”, c’est autorisé, voire encouragé
“Vive Sarkozy”, tout le monde s’en fiche !
Hubert
Quand on voit le déferlement de haine anti-russe sur les réseaux sociaux américains on se dit que cette décision est une simple mesure de bon sens sinon ils seront obligés de fermer plus de la moitié des comptes.