Lu ici :
"Une étude scientifique à paraître dans l’édition du mois de novembre de la revue Environment International confirme la pollution des rivières françaises par l’industrie pharmaceutique. Les recherches ont été menées par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris). Et ont pris pour cas pratique une rivière coulant aux abords d’une usine Sanofi implantée dans le Puy-de-Dôme. Le site, basée sur la commune de Vertolaye, produit des hormones et des stéroïdes. Les scientifiques ont réalisé plusieurs prélèvements au fil de l’eau, en amont et en aval de l’usine. Et ils relèvent des troubles incontestables : présence de perturbateurs endocriniens dans l’eau (influant sur les hormones) ; malformations sexuelles observées chez les goujons à l’abdomen hypertrophié ; taux de goujons intersexués (organes sexuels difficiles à déterminer) allant jusqu’à 80% en aval de l’usine ; et déclin de la densité de poissons. Un chercheur qui a participé à l’étude de terrain confie même qu’il a rarement vu une rivière aussi dépeuplée."
PK
Gageons que nos écolo-bobos vont monter immédiatement au créneau demander le démantèlement de ces usines et l’interdiction de la production de ces produits à l’avenir en France et créer un moratoire « Sortir du tout chimique »…
Ha, non, pardon… ce n’est pas du nucléaire : ils n’ont pas le soutien de grands groupes financiers gavés par les revenus du pétrole donc ils ne diront rien…
Et en plus, ça risque de remettre en cause « la libération de la femme »…
Restons donc bien assis sur nos vélos haut de gammes qui ne connaissent que le bitum bien lavé des routes des grandes villes et sachons tourner la tête avec dédain de ce qui n’est pas vraiment l’écologie…
ID
“Ils” vont nous trouver la “solution” : le stérilet et encore et toujours la capote.
chouan 12
il n’y a pas que les labos mais toutes les femmes qui prennent la pilule,il y a rejet dans la nature donc pollution et les médicaments avalé à longueur de journée par les gens même l’eau du robinet est pleine d’hormones de synthèse de résidus de médicaments car rien ne se perd rien ne se crée
dragasès
Cela me semble étrange car les normes de construction pour les usines de ce type sont drastiques!Les eaux usés sont récupérées et il existe des stations d’épuration “Ad Hoc”…