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Cathophobie / Médias : Désinformation

L’intox des pauvres enfants indiens victimes des missionnaires catholiques au Canada

L’intox des pauvres enfants indiens victimes des missionnaires catholiques au Canada

Carolane Gratton, porte-parole des “Relations entre la Couronne et les Indigènes”, confirme que 7,9 millions de dollars ont été dépensés pour trouver les restes des pauvres enfants indiens de la « Première nation Tk’emlups te Secwepemc » victimes des missionnaires catholiques.

Plus de 100 églises ont été incendiées par les courageux vengeurs des Indiens à la suite de la « découverte » de 215 « tombes anonymes » d’enfants du pensionnat de Kamloops. C’était en 2021 et ce fut un scandale à retentissement planétaire. Toute la classe politique canadienne, derrière Trudeau, hurlait au « génocide ».

Car la « découverte » de Kamloops n’était évidemment que la partie émergée de l’iceberg. On allait trouver auprès des anciennes écoles pour enfants indiens d’autres centaines de tombes anonymes d’enfants tués par les missionnaires ou morts de mauvais traitements.

« Nos pensées vont aux survivants, à leurs familles et à leurs communautés, alors que la vérité déchirante sur les sépultures anonymes des pensionnats indiens continue d’être dévoilée », disait une note gouvernementale de 2022.

Pourtant, malgré près de 8 millions de dollars de dépenses, on n’a toujours rien trouvé. Strictement rien. Pas le moindre ossement. Nulle part, alors que des fouilles ont été menées à grands frais dans divers anciens pensionnats.

Néanmoins une commission sénatoriale affirmait en 2023 que quiconque remet en question les tombes s’engage dans le « négationnisme des pensionnats ».

François était allé lui-même au Canada, en juillet 2022, pour prononcer un long discours dans lequel il faisait part de sa « profonde honte et de son chagrin ». Sur une intox.

Selon le Centre canadien de vérité et réconciliation, 51 élèves sont décédés durant les 80 ans d’existence du pensionnat. Grâce aux recherches de l’historien Jacques Rouillard, on connaît maintenant les lieux de sépulture de plus de la moitié de ces enfants. Quatre d’entre eux sont inhumés à Kamloops dans le cimetière de leur réserve situé non loin du pensionnat, ce qui fait douter de l’existence d’un autre lieu de sépulture secret. Vingt-quatre autres enfants sont enterrés dans le cimetière de leur propre réserve. L’historien a pu consulter les certificats de décès conservés dans les registres d’état civil de la province.

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