Le premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt, qui exerce la présidence tournante de l'UE, s'est entretenu avec le président tchèque Vaclav Klaus, qui pose une nouvelle condition à la signature du traité de Lisbonne :
"[Il] souhaite ajouter une note en bas de page de deux phrases. Autant que je sache, il lie cela à la Charte des droits fondamentaux".
Le Premier ministre suédois a souligné qu'il avait demandé aux services juridiques de la présidence de l'UE d'étudier cette requête et qu'il en discuterait au cours des prochains jours avec le reste des Vingt-Sept.
Addendum 22h30 : Précisions. Vaclav Klaus veut que le Conseil européen se prononce sur cette note de bas de page. "Il appartient à M. Klaus de préciser ce qu'il compte mettre dans ces deux phrases". Cette demande tchèque nécessiterait un nouvel accord entre pays européens et rouvrirait la boîte de Pandore des débats autour du traité de Lisbonne.
Sancenay
la discrétion de mise sur le contenu laisse entendre que celui-ci ne va pas passser inaperçu dans le landernau de ” l’Europe du Progrès”
SD
ça sent le début de la fin…
AncillaDomini
Si c’est une combine pour ne pas avoir à appliquer le traité, c’est plutôt bien trouvé… ;-)