Des experts [?] européens se sont réunis à Saint-Denis pour examiner la radicalisation islamique en prison, un phénomène constaté dans plusieurs pays de l’Union européenne. En France, ce problème concerne "plus d’une centaine" de détenus, a affirmé Michèle Alliot-Marie. Elle a présenté un "manuel, à destination de l’ensemble des personnels pénitentiaires" de l’UE, recensant "un certain nombre d’indicateurs" annonciateurs d’un début de radicalisation et proposant "des recommandations". Parmi les indicateurs :
- "ce qui peut être d’ordre extérieur, vestimentaire ou barbe qu’on laisse pousser",
- "d’autres, moins visibles, par exemple, le refus d’obéir à des ordres donnés par les personnels féminins"
Parmi les recommandations pour essayer d’interrompre le processus de radicalisation :
"ne pas avoir une attitude de rejet d’une religion, assurer la liberté religieuse".
Outre des spécialistes européens, participaient à ce séminaire des représentants de l’Algérie. Mais les Algériens sont-ils vraiment compétents pour nous aider, quand on sait ce qui se passe chez eux ?
Benoist
Oui, l’islam au cœur des prisons est préoccupant.
Mais, je supposes qu’il est sous estimé: plus d’une centaine peut faire penser à un peu plus d’une centaine. Ne devrait on pas penser en terme de milliers?
C’est une véritable bombe à retardement.
Pourquoi vouloir absolument assurer la liberté religieuse à des fanatiques?
Un catholique en Algérie bénéficie-t-il des même droits?
Il faut au contraire refuser qu’ils portent la barbe, mater les refus d’obéissance et montrer qui est le patron. De plus il ne serait pas idiot de séparer les musulmans pour éviter tous complots, et tout prosélytisme.
Mais ne pensez-vous pas que l’islam au cœur de l’armée est encore plus préoccupant ?
Et que dire de l’islam au cœur des citées ?
Et que dire de l’islamisation des esprits qui sont censés nous gouverner ?