Pendant que les pouvoirs publics français cherchent toutes sortes d’accommodements avec l’islamisme, certains pays musulmans tentent de limiter l’influence des oulémas dans la sphère publique (ce qui, naturellement, contrevient à la lettre comme à l’esprit du coran. En ce moment même, c’est au sein du plus grand pays musulman du monde, l’Indonésie, que la crise monte entre les dirigeants politiques et les oulémas. Le ministre des Affaires religieuses, Yaqut Cholil Qoumas, a récemment publié un décret interdisant que l’appel à la prière dépasse 100 décibels. Il est désormais attaqué par les islamistes pour “insulte à l’islam”. Mais ce décret n’était qu’une première étape. Le ministre vient de changer les règles de la certification halal. L’un des enjeux de ce changement est de priver le conseil des oulémas d’une manne financière considérable (on estime que la certification halal rapporte 1,6 milliard de dollars par an en Indonésie) et de transférer cette manne à l’Etat.
Cette crise (comme le plus ancien affrontement entre le maréchal Al-Sisi et l’université Al-Azhar en Egypte) devrait ouvrir les yeux aux dirigeants français, mais leur aveuglement volontaire les conduit à refuser de comprendre que l’islam n’est pas une religion au sens où le catholicisme en est une – et que le halal est une arme de guerre.
sivolc
Merci de nous faire connaître ces informations que les médias français de grand chemin nous occultent. Elles aideront les mous à comprendre ce qu’est vraiment l’islam.
christianlair
Le jour où nos ” chers ” dirigeants français agiront de la sorte envers cette secte nocive , nous aurons déjà fait un grand pas vers la vérité ! De toutes façons , DIEU sera toujours vainqueur , alors prions !………..
Meltoisan
Et en France ? Combien rapporte la certification halal aux Grands Remplaçants ?
“L’un des enjeux de ce changement est de priver le conseil des oulémas d’une manne financière considérable (on estime que la certification halal rapporte 1,6 milliard de dollars par an en Indonésie) et de transférer cette manne à l’Etat.”