Trouvé sur Riposte Laïque, ce calendrier 2011 proposé par FO métaux du Val de Seine :
Qu’on en juge : destiné à des gens qui vivent en France, qui travaillent en France […] ce calendrier représente trois photos de mosquées, avec au premier plan de l’une d’entre elles trois Belphégor en noir, vision horrifique des femmes donnée à admirer… Quant au texte… de quoi faire se lever sur leur tête les cheveux des plus tolérants des hommes. Il y a bien -quelle complaisance !- une petite colonne 2011 avec les principaux jours fériés français (fort utiles pour savoir quand on travaille ou pas dans une entreprise) mais la colonne de droite présente la date musulmane (d’une utilité indéniable quand on vit en France), "1432-1433" et dessous la liste des évènements musulmans, écrits en arabe"
chouan 12
les syndicats, c’est comme la plupart des politiques tous vendus, ils se croient malins les pôvres!
Yves Daoudal
Et au centre les horaires des prières (musulmanes). Mais c’est la direction de l’entreprise qui finance ce calendrier, même si FO y met ensuite son logo. Et ce n’est pas d’hier. Voici ce que j’écrivais dans “Reconquête” de janvier 2006:
L’intégration modèle, selon le sociologue Khedimellah
C’est l’intégration de la société française dans l’islam
Moussa Khedimellah est un jeune sociologue lorrain (mais si). Titulaire d’un DEA, il prépare une thèse de doctorat sur « l’islam européen ». Pour s’immerger dans son sujet, il est allé travailler à l’usine Peugeot de Poissy. Le 6 décembre dernier, il a publié sur le site oumma.com les premiers fruits de sa réflexion, dont l’AFP a donné des échos, quelques jours plus tard, sous forme d’un entretien. En résumé, l’usine de Poissy montre que l’entreprise peut être un modèle d’intégration de l’islam : ce qui fonctionne à Poissy doit pouvoir fonctionner de la même manière dans la société tout entière. Or ce qu’il décrit, c’est une entreprise intégrée dans l’islam…
L’usine Peugeot de Poissy permet de comprendre ce qu’il faudrait faire dans la société pour mieux “vivre ensemble”, explique Moussa Khedimellah.
Et voici ce qu’il décrit. Dans cette usine, il y a 70 % de musulmans. Les femmes sont voilées si elles le souhaitent, les hommes portent des vêtements traditionnels maghrébins ou pakistanais (il ne s’agit pas d’ouvriers originaires du Pakistan, mais de salafistes ou de membres du Tabligh, autrement dit de prédicateurs intégristes, appréciés par la direction pour être les meilleurs travailleurs). Il y a au moins cinq mosquées (sans doute sept), pour les pauses prière institutionnalisées. La direction offre le calendrier musulman et les dattes du ramadan. Ce sont les syndicalistes qui, en accord avec la direction, rappellent l’heure de la prière et, chaque jour du ramadan, fixent l’heure où s’arrêtent les chaînes pour la rupture du jeûne.
« A l’usine, conclut Moussa Khedimellah, il n’y a pas de spécificité du fait islamique, alors que dans la société civile, il y a une vraie focalisation dont ils souffrent. »
Vous avez bien lu : il n’y a pas de spécificité du fait islamique. Parce que c’est l’usine qui est islamique. Elle vit au rythme de l’islam. Il s’agit d’une normalité islamique. Et c’est cela qui est proposé en modèle pour la société tout entière, en modèle du “vivre ensemble”. Ce n’est pas l’intégration de l’islam, mais bel et bien l’intégration dans l’islam. On retrouve ici le même schéma que pour le lycée Lavoisier de Roubaix, lycée présenté lui aussi comme modèle d’intégration et du “vivre ensemble”, parce qu’il est entièrement régi selon les règles de l’islam .
Une des parties de l’article est carrément intitulée “L’entreprise à l’heure de l’islam”. On peut y lire par exemple : « A l’heure de la rupture du jeûne, c’est une frénésie qui gagne les employés et tout spécialement les musulmans. Encas, pâtisseries orientales, eau, café, thé à la menthe, dattes sont alors apportés, le tout dans un arrière-fond sonore d’appel à la prière en arabe sortant du haut-parleur d’un téléphone portable, posé sur la table, et muni d’une radio FM réglée sur Radio Orient. »
Et Moussa Khedimellah de se demander pourquoi ce qui fonctionne si bien dans l’entreprise ne pourrait pas fonctionner aussi bien dans « l’espace public social »…
On aura compris, naturellement, que celui que l’on présente comme un sociologue est en réalité un propagandiste de l’islam. Son mémoire de DEA, en 1999, était une apologie du mouvement Tabligh, le plus prosélyte des mouvements islamistes, présenté comme mystique, apolitique et pacifique, alors que les RG s’inquiètent de son rôle de rabatteur pour les réseaux terroristes. Pour ce qui est du “vivre ensemble”, on reconnaît la formule qu’affectionne Tariq Ramadan, et l’on voit ici plus précisément ce qu’elle veut dire.
Les premiers mots de l’article de Moussa Khedimellah suffisent pour comprendre son véritable dessein : « L’histoire de la présence de l’islam en France et en Europe est séculaire, la toponymie des lieux et les descendants des Maures sous l’appellation des Morin en témoignent encore et toujours. » La toponymie des lieux. Comme si nos villes et nos villages portaient ordinairement des noms musulmans. Comme si les rares lieux dont ils parlent ne gardaient pas la mémoire d’une occupation étrangère, celle des Maures, des Sarrasins. Quant au nom de Morin, c’est le premier patronyme en Mayenne et le 4e en Côtes d’Armor, départements qui ne furent précisément pas touchés par l’invasion arabe. Il ne peut évidemment pas venir de Maure. Il vient sans doute de Maurinus, de saint Maurinus, dont le nom est dérivé de Maurus, celui d’une “gens” romaine qui a notamment donné saint Maur, non à la France islamique, mais à la chrétienté. Le mot latin maurus veut dire brun foncé. C’est pourquoi on appela Maures, dans les régions proches de la Méditerranée, les envahisseurs arabes. L’explication est exactement l’inverse de celle que donne Moussa Khedimellah.
Pour avoir une idée plus complète du personnage, on peut lire aussi, toujours sur les sites islamiques, son analyse des émeutes dans les banlieues. Une analyse impeccablement marxiste. Le “vivre ensemble” du marxisme et de l’islamisme, c’est aussi l’histoire de l’usine de Poissy.
Yves DAOUDAL
C.B.
L’avant dernier paragraphe de l’article de Riposte Laïque:
“FO ne défend pas les travailleurs français, FO fait du prosélytisme religieux pour attirer le chaland, FO se vend, FO trahit la France et se tire une balle dans le pied.”
Tout l’article vaut d’être lu.
mariege
on savait que depuis les années 60 l’industrie automobile employait en majorité des ouvriers musulmans ( cf le film Elise ou la vraie vie ) mais là on est arrivé à un stade qu’on ne peut plus qualifier ! de quoi ne plus jamais acheter une voiture de marque française ! est ce que c’est le cas dans les usines Toyota en France ?
marcantoine
Faut acheter Japonais
Nabulione
J’ai appartenu au syndicat FO. Bergeron doit en avoir une attaque !
Bertrand
là encore pas étonnant
je retrouve les faits dans les prophéties de soeur Marie Julie Jahénny qui en parlait déja en 1881
elle disait
La déchristianisation planifiée et massive, le rejet de la doctrine morale Catholique, l’influence grandissante de l’Islam ” La France deviendra mahomète… niant la divinité du Christ… “, du spiritisme et des cultes lucifériens seront autant de signes de cette ” gangrène ” spirituelle… Cette désintégration ne se sera pas faite spontanément, mais sera orchestrée par des sociétés secrètes et des groupes d’influence dans tous les milieux, sous le masque de l’amour de l’Homme. Ils seront acharnés à la dissolution de la civilisation chrétienne, par la corruption, ” les mauvais livres “, l’imposture ou la peur, élaborant des lois contraires à la Loi divine ” les lois impies “, séduisant ceux-là mêmes qui auraient dû la défendre, les aveuglant au point de les amener à persécuter ceux qu’ils devraient aimer. Toutes ces attaques visent à effacer de l’esprit des hommes la mémoire du Dieu Créateur et du Christ Sauveur.
et bien d’autres choses sombre encore
Exupéry
Sous différentes formes et époques:
toujours le même “parti de l’étranger”,
toujours la haine de soi,
la haine soi comme né en terre chrétienne,
et “primairement” la haine de la chrétienté
s’enracinant dans le rejet du Christ-Sauveur.
Philippe Edmond
Les mauvaises langues disent que les chaînes de production de l’usine de Poissy se sont arrêtées le 11 septembre 2001 tellement les ouvriers étaient contents. Elles disent aussi que si un musulman est en situation de recruter, il ne choisit que ses semblables.