Lu dans l'Action Française 2000 :
"Après quinze mois de régime
Monti, des élections générales
anticipées auront lieu dimanche
et lundi prochains en
Italie. Sauf énorme surprise, le
Parti démocrate (PD, centre
gauche), dirigé par l'ex-communiste
Pier Luigi Bersani, devrait
s'imposer comme la principale
force politique du pays. Mais la
majorité pourrait lui échapper
au Sénat, celui-ci ayant les
mêmes pouvoirs que la
chambre des députés. Car, selon
un ultime sondage, le PD
serait suivi de près par le bloc
des droites (PDL berlusconien
et Ligue du Nord). Bête noire
des juges rouges, Silvio Berlusconi
a pu, en effet, durant la
campagne, électorale faire étalage
de ses talents de communicateur,
non sans démagogie,
bien sûr. Et Mario Monti dans
tout cela ? Les listes centristes
et celles à l'enseigne de
« Monti pour l'Italie » ne sont
créditées que du quatrième
rang (un peu moins de 13 % des
suffrages), derrière le Movimento
5 Stelle du comique "populiste"
Beppe Grillo. Dans ces
conditions, on peut craindre
qu'au lendemain du scrutin
l'Italie ne renoue avec l'instabilité
politique."
RL
Puis nouvelles élections, et Berlusconi de retour ! Comme en 2010 quand il a évincé Profi, fragilisé par une majorité instable.
St TG
Comique populiste qui demande de quitter la CE et surtout l’€uro.
L’instabilité politique de l’Italie va affaiblir encore la Commission et ses Commissaires de l’Anti Peuple, et c’est tant mieux : l’Italie s’en sortira, c’est un pays qui peut fonctionner sans état centralisé.