Lu ici :
"ça se passe comme ça en France : vous suivez un candidat 16 heures sur 24 pendant quatre mois. Ca crée des liens : il connaît votre prénom, son entourage vous a à la bonne et votre rond de serviette est réservé en cas de victoire. Votre rédaction ne risque pas de ruiner ce capital.
Alors, pendant la campagne, Hollande devient votre poulain. Dès lors, comment ne pas tenter de le vendre dans vos articles et vos reportages ? Car s’il gagne (et en ce moment il est très bien placé), il vous entraîne dans son sillage. A vous les voyages officiels, les vols en « Air Hollande one », les coulisses du palais et les entrevues sous les ors de la République. Bref, l’ivresse du pouvoir a déjà envahi une frange de mes confrères."
YannH
Et en plus, il n’y a rien de plus vrai !…
Le problème avec M. Hollande c’est qu’il va falloir qu’il change d’avion. Avec plus de 80% de journalistes à gauche, il devra “troquer” son A330 pour un A380.
bébert
voir le film “les nouveaux chiens de garde” (excellent)
crichna
En général, quand on parle des journalistes, on oublie que ce sont des salariés. Ce qu’on leur impute est en fait d’obéir à leur employeur. C’est donc un cas d’hallucination.
fireu
Manque un mot.
Depuis 10 ans chargé de l’immigration comme ministre de l’intérieur puis comme président de la république, il déclare son intention de la diviser par deux. Il est clair que les gens qui font le déplacement de Villepinte pour entendre ce genre de propos sont des