Lu sur Nouvelles de France :
"Après des protestations de nombreux parents d’élèves dans plusieurs écoles du pays, la ministre de l’éducation italienne s’est engagée à ce qu’à partir de la rentrée de septembre les parents soient désormais consultés sur le contenu des programmes scolaires. Interrogée à la radio, elle a refusé de lire à voix haute un extrait d’une de ces histoires proposées aux élèves et qui avaient choqué les parents. Il s’agissait dans ce cas précis d’un livre sur une petite fille élevée par deux hommes. L’histoire, imposée aux élèves d’une école de Rome, parle entre autres choses de la relation homosexuelle d’un adolescent de seize ans avec son partenaire. Autre événement à l’origine de la décision de la ministre, en mars un collège de Modène a invité, sans en informer les parents, un activiste gay transsexuel italien qui se fait appeler Vladimir Luxuria pour parler aux collégiens du transsexualisme. La présence de militants LGBT correspond à la mise en application en Italie d’un programme élaboré en collaboration avec 29 organisations LGBT, sous prétexte de se conformer aux recommandations du Conseil de l’Europe. Cela semble aussi tout à fait conforme aux folles recommandations du bureau européen de l’OMS distribuées en 2010 à tous les gouvernements du continent. […]
Comme l’a exprimé en Italie le cardinal Angelo Banasco, archevêque de Gènes, la promotion de l’homosexualité sous prétexte de lutter contre « l’homophobie » est une première étape dans l’imposition de l’idéologie du genre et de ses préjugés contre la famille et la religion. Le cardinal Banasco a en effet dénoncé en mars dernier le fait qu’on cherche aujourd’hui à transformer les écoles en camps d’endoctrinement et de rééducation au service de l’idéologie du genre, faisant ainsi des enfants les cobayes de cette nouvelle forme d’ingénierie sociale totalitaire. Une ingénierie sociale qui passe malheureusement par la dépravation de nos enfants."