Jeanne Smits a publié la suite de l'excellent conférence du cardinal Burke : 3e partie, 4e partie, 5e partie. A suivre. J'y note notamment ceci :
"L’obéissance de la foi nous oblige dans toutes les situations de la vie, y compris dans celles où il est le plus difficile d’accomplir ce que Dieu nous demande. En dernière analyse, l’obéissance de la foi peut exiger le martyre. Dans sa lettre encyclique Veritatis splendor, « Sur quelques questions fondamentales de l’enseignement moral de l’Eglise », du 6 août 1993, le vénérable Pape Jean-Paul II nous a enseigné qu’il ne peut y avoir de compromission quant à l’obéissance à l’égard du Magistère moral :
« Même dans les situations les plus difficiles, l'homme doit observer les normes morales par obéissance aux saints commandements de Dieu et en conformité avec sa dignité personnelle. Assurément l'harmonie entre la liberté et la vérité demande parfois des sacrifices hors du commun et elle se conquiert à grand prix, ce qui peut aller jusqu'au martyre » (n° 102a).