Le nom de Claude Allègre circule bruyamment dans la presse. Mais ce n'est pas le seul. Evidemment, Nicolas Sarkozy ne conçoit "l'ouverture", que comme un raccolage de la gauche. Richard Descoings, directeur de Sciences Po, déjà en charge d'une mission sur la réforme du lycée, pourrait aussi entrer au gouvernement. A l'Education nationale par exemple.
D'autres noms sont cités, comme l'adjoint à la Culture de Bertrand Delanoë, le sinistre Christophe Girard.
À "droite", on évoque le retour de Christian Estrosi. Et le centriste Michel Mercier, le député Pierre Morel-A-L'Huissier (148e), pour le secrétariat d'État aux Affaires rurales.
Parmi les partants, reviennent les noms de Roger Karoutchi, Christine Boutin et Anne-Marie Idrac.
HB
Heu…le dénommé L’Huissier,c’est pour mieux nous voler le peu d’argent qui nous reste?
denisot
Notre président de République avec son “ouverture” vient de ré-inventer la cohabitation, alors pourquoi avoir passé le mandat présidentielle de 7 à 5 ans ?