Lu dans Le Figaro :
"au nom du marasme économique, Bruxelles a autorisé jeudi l'Espagne à restreindre l'accès des Roumains à son marché du travail jusqu'à la fin 2012. En clair, Madrid pourra imposer des permis de travail aux Roumains, en faisant jouer une «clause de sauvegarde» de son marché de l'emploi."
Certains diront que c'est une bonne nouvelle. Ce qui l'est moins c'est de voir à quel point les Etats dépendent du bon vouloir de la Commission de l'UE :
"Bruxelles voit dans cette décision un cas de figure unique. «Nous n'avons pas reçu d'autres demandes, nous ne nous attendons pas à en avoir d'autres», a affirmé une porte-parole de la Commission, Chantal Hughes, en promettant de «continuer à défendre la libre circulation partout en Europe»."