"un ressortissant Australien, pousuivi en Allemagne pour s’être rendu coupable d’écrits négationnistes sur son site australien, est arrêté au Royaume-Uni (où ces écrits ne sont pas illégaux) en vertu du Mandat d’arrêt européen. Vendu à l’opinion publique sous prétexte de lutte contre le terrorisme, ce Mandat d’arrêt montre sa vraie nature liberticide : il suffit qu’un acte soit réprimé dans un Etat de l’Union pour qu’il devienne de fait réprimé dans les 27."
Sur cette même affaire, Polémia relève un article du Time où l’on s’inquiète du délit d’opinion, que la France connaît bien :
"Lord Filkin, alors ministre de l’intérieur, avait dit, lors du vote de cette loi au Parlement, que jamais personne ne serait extradé pour une conduite considérée comme légale en Grande-Bretagne. Le spectre du « crime contre la pensée » est de retour, qui hante la Grande-Bretagne."