Le rapport de l’Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes (EUMC) rendu public le 28 novembre dernier (pdf) constatait les discriminations et les crimes racistes dont sont victimes les migrants et les minorités ethniques. L’Allemagne compte répondre à l’EUMC, qui prône «l’intensification des efforts contre le racisme», en mettant à profit sa présidence pour concrétiser le projet de législation commune. Une des mesures clés réside dans l’instauration d’une peine minimale pour tout auteur d’acte de violence raciste ou xénophobe.
Discuté depuis plusieurs années, le projet de doter la communauté d’une législation commune en matière de révisionnisme et de racisme dans le sens le plus global du terme avait toujours été repoussé, notamment par l’Italie de Silvio Berlusconi. Désormais dirigé par Prodi, le pays accepte de s’associer. Le débat sera ouvert très prochainement. Certains pays veulent élargir la définition de révisionnisme, pour l’instant limitée à la prohibition de la glorification de l’extrême droite et la négation de l’Holocauste, pour l’étendre à l’extrême gauche et ses dérives dictatoriales meurtrières, notamment dans l’ex bloc communiste. Le gouvernement d’Angela Merkel refuse cette association.
Jean
Il est obligatoire d’associer à cette lois les idéologies d’extrême gauche, elles ont fait 10 fois plus de morts.
Sans quoi c’est la preuve que nous sommes entrés dans l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques d’Europe.
De toute façon, la police de la pensée est déjà en place. Et l’URSSE va bientôt suivre le même sort que sa grande soeur.
Szymański
Puisque l’antiracisme est le communisme du XXIème siècle, Angela Merkel est conséquente.
tite
100 millions de morts ce n’est pas assez, c’est à partir de quel chiffre que l’on devient infréquentable ?