15 questions concernent l'adhérent : profession, études, situation matrimoniale mais aussi ses engagements politiques antérieurs, sa philosophie politique ou les raisons qui l'ont conduit à ne pas renouveler son adhésion…
Une question, seulement, concerne le projet de l'UMP pour 2012. Les personnes consultées doivent déterminer si le parti consacre une place suffisamment, trop ou pas assez importante à 25 thèmes, de «l'avenir de l'école» à «la lutte contre l'immigration clandestine», en passant par la santé, le travail, les déficits, la fiscalité, l'Europe…
Et le respect de la vie, la défense de la famille, la liberté scolaire ?
HV
Dans l’article du Figaro en lien, on trouve cette perle:
“[JF Cope] ne cache pas sa volonté de faire fonctionner le parti présidentiel comme «n’importe quelle entreprise» : «avec des missions, des objectifs, des délais et un vrai souci de nos adhérents comme n’importe quelle société a le souci de ses clients», expliquait-il peu après sa prise de fonction.”
Mais pour conserver l’analogie de l’entreprise, les adherents d’un parti n’en sont pas les “clients”, ils en sont les actionnaires. Comme toute association loi 1901, un parti “appartient” a ses adherents (et non a sa bureaucratie dirigeante).