C'est la crainte de… Barack Obama, interrogé sur la BBC le 27 décembre dernier.
Réponse de Donald Trump le 30 décembre sur Twitter :
« J’utilise les réseaux sociaux, non car j’aime ça, mais parce que c’est la seule façon de contourner des médias malhonnêtes. Les sources bidons ou inexistantes sont utilisées plus que jamais. Nombreux histoires et reportages relèvent de la pure fiction ».
I use Social Media not because I like to, but because it is the only way to fight a VERY dishonest and unfair “press,” now often referred to as Fake News Media. Phony and non-existent “sources” are being used more often than ever. Many stories & reports a pure fiction!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 30 décembre 2017
Indigné
Mais qu’est-ce qu’une réalité totalement différente.
Une réalité qui n’est pas le fruit du mensonge des indignes qui font profession de la politique?
Une réalité contraire à la vérité?
Indigné
Pour autant il faudrait être naïf pour croire en l’honnêteté de D. Trump.
L’embastillement de la concurrence dans la construction immobilère, en Arabie saoudite, en dit long sur lui et son beau-fils à l’heure de la reconstruction de l’Irak et de la Syrie.
eusebe1
Regardez qui profite de l’Internet en l’ayant mis en place et qui en pâtit .Déjà du temps de l’occupation nazie les résistants ne communiquaient que de bouche a oreille ou par voie postale c’est a dire avec un minimum de discrétion possible si pas parfaite et il y avait de bonnes raisons .Le pire danger d’Internet transparent est qu’il est exclusivement au service de ceux qui l’ont mis en place dans un but bien précis : menotter la population et la désarmer préventivement pour établir une dictature définitive , on le voit bien entre autres avec les lois comme la vaccination a 11 poisons obligatoires . cet instrument Internet radiographie instantanément et en permanence l’état d ‘esprit et les intentions du peuple en révolte et c’est pourquoi malgré cette révolte ses intentions sont toujours désamorcées dans l’œuf par des frappes chirurgicales qui ne sont jamais rapportées par les merdias aux ordres financés avec notre argent et , la destruction de l’intelligence et de la culture aidant , ce n’est pas près de s’arranger…
Papon
Il est certain qu’un article comme celui-ci ne doit pas lui plaire:
http://lesakerfrancophone.fr/mieux-vaut-tard-que-jamais
n
La mémoire courte :
http://www.01net.com/actualites/les-reseaux-sociaux-latout-majeur-dobama-579501.html
C’est Obama qui a popularisé l’utilisation de Twitter pour des fins électorales, et à l’époque, les journalistes se faisaient des gorges chaudes du modernisme de cet homme visionnaire.
n
Et ceci (désolé pour la langue)
https://en.wikipedia.org/wiki/Barack_Obama_on_social_media
Statistics on Twitter usage
Graph of Obama’s follower growth
The account is among the top ten worldwide in both followers and followed.[7][22] The account held the record for following the most people.[23][24] Obama’s account ranked sixth in terms of followers with 16.5 million followers,[7][8][9] and fourth in terms of accounts followed with 677,188.[10]
During his 2008 campaign the account was intermittently the world’s most followed. In May 2010 Obama’s Twitter account ranked as the fourth most followed account with about 4 million followers.[25] By May 16, 2011, @BarackObama was followed by 7.4 million people, including twenty-eight world leaders.[26] His account became the third account to reach 10 million followers in September 2011.[23][24]
Tite
Il est de plus en plus difficile d’avoir du discernement.
J’ai toujours en mémoire cette phrase de Jean-Luc Godard :
“Il n’y a pas d’image JUSTE. Il y a JUSTE une image”.
La manipulation est une arme redoutable et ce, depuis des temps immémoriaux.
Christian
déjà R Nixon avait trouvé une parade
quand il avait les média contre lui.
il se faisait publier en tant qu’annonceur
en achetant une page dans un journal pour
y imprimer son texte.
c’est à dire, offrir aux journalistes ce
qu’ils ont du mal à refuser, de l’argent.
en plus, c’est moins
cher que d’acheter le journal lui même,
comme ces ringards de soros ou murdoch.