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Homosexualité : revendication du lobby gay

L’Union cycliste internationale exclut les hommes des compétitions féminines

L’Union cycliste internationale exclut les hommes des compétitions féminines

Rien de plus normal, me direz-vous. Sauf que ces hommes se prennent pour des femmes et veulent que nous les considérions comme des femmes…

L’Union cycliste internationale (UCI) a annoncé vendredi 14 juillet qu’elle allait interdire la participation aux compétitions internationales des athlètes transgenres féminines ayant effectué leur transition après leur puberté. Jusqu’à présent, l’UCI autorisait les femmes transgenres ayant vécu une puberté masculine à participer aux épreuves féminines si leur taux de testostérone était réduit à 2,5 nanomoles par litre au cours des deux années précédentes.

A la fin de 2021, le Comité international olympique (CIO) a renoncé à établir des directives uniformes pour l’ensemble des sports, laissant la main aux diverses fédérations internationales. World Athletics, qui supervise l’athlétisme, a décidé d’exclure les personnes transgenres des compétitions d’athlétisme féminines.

Selon le président de l’UCI, le Français David Lappartient, il est du « devoir » de l’instance « de garantir avant tout l’égalité des chances entre tous les concurrents ». C’est cet impératif, ajoute-t-il, qui a conduit l’UCI à conclure qu’il n’était pas possible, « par mesure de précaution », d’autoriser les athlètes transgenres féminines à courir dans les catégories féminines.

L’UCI explique :

« Les connaissances scientifiques ne permettent pas de confirmer qu’au moins deux ans d’hormonothérapie de confirmation du genre avec une concentration de testostérone plasmatique cible de 2,5 nanomoles par litre soient suffisants pour éliminer complètement les avantages donnés par la testostérone pendant la puberté chez les hommes ».

« il existe une grande variabilité interindividuelle dans la réponse à l’hormonothérapie de confirmation du genre », « on ne peut pas non plus exclure que des facteurs biomécaniques tels que la forme et la disposition des os de leurs membres antérieurs constituent un avantage persistant pour les athlètes transgenres féminines ».

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2 commentaires

  1. Le simple bon sens progresse … étonnant, non ?

  2. on est donc tombé bien bas pour que l’évidence naturelle soit respectée, en faisant des lois

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