Communiqué de Yann Baly, Président de Chrétienté-Solidarité
Emmanuel Macron est heureux et fier. Il sera peut-être, un jour, dans les livres d’histoire.
Ce Président, rejeté par les Français, essaie de trouver de nouveaux amis et un peuple de substitution pour être adoré.
Le chef d’un État en pleine déliquescence reconnait un État fantôme aux frontières inconnues, dont les institutions sont chancelantes et les dirigeants sans véritable légitimité. Un État qui, s’il venait à prendre forme, serait sans doute immédiatement happé par le Hamas, milice djihadiste fondée par les Frères musulmans.
Comme c’est son habitude, Macron a renié toutes les conditions qu’il avait posées comme préalable à la reconnaissance d’un État palestinien. Ces conditions étaient un garde-fou pour la sécurité de la région et une nécessité pour que cet État puisse exister sans devenir immédiatement un Etat mafieux et djihadiste.
Qu’importe, l’important pour Narcisse Ier est de paraître à la tribune de l’ONU, de recevoir les félicitations de Tamim ben Hamad Al Thani, émir du Qatar, pays protecteur et importateur du djihadisme et d’Abou Mohammad al-Jolani, djihadiste lui-même et nouvel homme fort d’une partie de la Syrie.
A défaut d’avoir le soutien du peuple français, Macron s’offre la reconnaissance de Jean-Luc Mélenchon et de LFI, qui lui renverront sans doute l’ascenseur, une fois encore, lors de prochaines élections législatives ou présidentielle.
Il espère aussi contenter « sa » rue arabo-musulmane. Hélas, il ne fait que renforcer le sentiment de supériorité conquérante d’une partie de cette communauté déjà fanatisée par l’idéologie islamiste, aggravant ainsi la menace pesant sur un peuple français livré, sans défense de l’État, au péril djihadiste.