Madrid, 11 mars 2004: 191 morts, 1858 blessés, combien de vie brisées… et huit ans de prison. Et pour ce qui est de la reconversion à la sortie de prison, c'est impressionnant. Les démocraties ont-elles pris la mesure de ce à quoi elles sont confrontées ? pic.twitter.com/lPS2zIX2yR
— Natacha Polony (@NPolony) 5 février 2018
Irishman
Bien sûr que non les démocraties n’ont absolument pas pris la mesure de ce à quoi elles sont confrontées ! Elles sont même complètement inaptes à défendre nos nations et notre civilisation !
Pour les démocraties, rien ne compte plus aujourd’hui que la liberté individuelle, érigée en dogme… Il y a un refus avéré de considérer d’abord l’intérêt général, le bien commun, le “res publica” des Romains…
Nos “zélites” se foutent complètement de ce que le citoyen lambda subit (ou risque de subir un jour violement) ! Les féministes crient haro sur les mâles, mais ce sont les mâles blancs uniquement ! Au lieu de dénoncer la mentalité (et les agissements) de beaucoup de migrants en Europe, ces dames et leurs péones progressistes préfèrent réécrire “Carmen” en chamboulant l’oeuvre de Bizet : ce n’est plus Carmen qui meure, car il est interdit de faire du mal à une femme…
Le progressisme, le politiquement correct devenu fou, sous les oripeaux de la démocratie, sont en train de nous tuer !
Etienne
Dans nos sociétés où les mentalités dérivent dans pas mal de directions, il y a des sanctions pour crimes qui deviennent ridicules.
Certains crimes devraient redevenir punissables de la peine de mort
Robert
Se souvenir qu’après les attentats de Madrid (2004) comme après ceux de Londres (2005), la Justice avait écarté la thèse Al-Qaida et soutenu que les crimes avaient été perpétrés par des terroristes islamistes autonomes.
La presse espagnole (El Mundo…) de l’époque pensait toutefois comme de nombreux criminologues, que des attentats de cette ampleur n’étaient jamais dus à des “autonomes” mais à un ou des états.
Conséquence des attentats : l’une est spectaculaire, c’est l’accession au pouvoir de Zapatero, alors que les sondages le donnaient largement battu. L’autre en découle, le retrait des troupes espagnoles d’Irak, promesse de Zapatero.
Un premier lien entre l’attentat et les États-Unis apparaît fin mars 2004 avec une mystérieuse photo de la bombe du sac de Vallecas. Dans la nuit du 11 au 12 mars 2004 un agent de la police scientifique s’était rendu sur les lieux où les démineurs désactivaient la bombe de Vallecas pour en prendre plusieurs photos. Mais voilà, un haut fonctionnaire de la police lui demanda de lui remettre la pellicule. Celle-ci disparaitra. Mais le 30 mars la chaîne de télévision états-unienne ABC News diffusa la seule photo de la bombe connue à ce jour. Qui avait pu prendre cette photo ? Et pourquoi était-elle floue ? Qui l’avait fournie au média américain ? Pas de réponses.
Le 6 mai 2004 les regards se tournent à nouveau vers les États-Unis quand Newsweek révèle qu’un avocat états-unien, Brandon Mayfield, a été arrêté dans l’État d’Oregon quelques jours plus tôt. Ses empreintes digitales ont été trouvées sur l’emballage des détonateurs découverts dans la Kangoo que les terroristes sont censés avoir utilisé.
Mais coup de théâtre le 20 mai, la police espagnole annonce qu’elle a de son côté identifié l’empreinte comme celle d’Ouhnane Daoud, un Algérien résidant en Espagne. Les autorités US prennent acte et le jour même Mayfield est relâché, avec, fait rare, les excuses publiques du FBI, puis une indemnisation. Quant à Daoud, il est toujours en fuite à ce jour, ce qui empêche d’évaluer la fiabilité de son identification.
A noter l’opportunité de l’identification de Daoud, passé inaperçu pendant 2 mois, pour tout à coup être identifié pour sauver Mayfield, un officier de réserve qui a passé 8 ans sous les drapeaux dont une année dans une unité de renseignement.
L’attentat a été l’œuvre d’une organisation de type militaire et non d’une bande de délinquants. Parce que les 10 bombes ont vraisemblablement été activées à distance par des systèmes de radiocommande, et n’ont pas été programmées à l’avance avec la fonction réveil de téléphones portables comme le soutient la version officielle. En effet 3 trains ont explosé alors qu’ils étaient à l’arrêt dans les stations d’Atocha, El Pozo et Santa Eugenia, le quatrième explosant en dehors d’Atocha où il attendait le départ du premier train. À moins d’y voir une extraordinaire coïncidence, on peut en conclure que les terroristes voulaient que les bombes sautent dans les gares. Or ce résultat est extrêmement difficile à obtenir en programmant à l’avance l’heure d’activation. Les moyens de radio transmission que cela implique suggèrent une opération sophistiquée, hors de portée de la bande de petits délinquants désignée par la version officielle.
Les bombes étaient chargées d’explosifs militaires, « qui coupent », et non de dynamite minière, « qui mord ». C’est ce type d’explosif que la police allemande avait intercepté sur des agents états-uniens qui tentaient de l’introduire discrètement au sommet du G8 de juin 2007.
La matrice de l’opération est donc bien militaire, comme le confirma Salvador Ortega, pionnier de la police scientifique en Espagne, interviewé par Bruno Cardeñosa quelques jours après l’attentat.
D’après l’ancien officier de renseignement de l’US Army Eric H. May, « la façon la plus simple de faire un attentat sous faux drapeau est d’organiser un exercice militaire simulant exactement l’attentat que l’on veut commettre » . Or, comme lors des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis et ceux du 7 juillet 2005 à Londres, les attentats de Madrid ont coïncidé avec une simulation d’attaque terroriste ! Du 4 au 10 mars 2004, l’OTAN réalisait son exercice de gestion de crise annuel, intitulé CMX 2004.
Une autre coïncidence troublante est l’escale en Espagne d’un des avions clandestins de la CIA. Le Boeing 737 immatriculé N313P atterrit le 9 mars 2004 à l’aéroport de Palma, sur l’île espagnole de Majorque, et en repart le 12 mars.
Comme dans toute l’Europe Occidentale, une structure secrète chapeautée par l’OTAN est implantée en Espagne depuis l’après-guerre. Dans un ouvrage de référence, Les Armées secrètes de l’OTAN, l’historien suisse Daniele Ganser décrit ces réseaux, qualifiés de stay-behind et et connus sous le nom générique de l’unité italienne Gladio.
Après les attentats, a été mis en place au nom du terrorisme, un mandat d’arrêt européen qui permet une remise quasi automatique, par un État membre, d’une personne demandée par une autorité judiciaire d’un autre État membre. Ce mandat supprime tous les contrôles politiques et judiciaires portant sur le fond et la légalité de la requête. Cela a accéléré le flicage de la population européenne (passeport bio-métrique etc….) Pourtant, L’organisation Statewatch a montré que, sur les 57 mesures prévues par le Conseil des chefs d’Etat et de gouvernement des 25 et 26 mars 2004, 27 propositions n’ont rien ou très peu à voir avec le terrorisme. Elles ont pour objet d’assurer la surveillance, non de groupes déterminés, mais de l’ensemble des populations à travers le contrôle des communications. Et cela sous l’hégémonie américaine.
Qu’en conclure sachant que des éléments de l’appareil d’État espagnol sont intervenus pour falsifier des pièces à conviction et orienter l’enquête ? Que les attentats ont été commis par une organisation militaire disposant de complicités dans l’appareil d’État espagnol. L’OTAN, dont le passé terroriste est établi, avait le savoir-faire, les moyens logistiques et le mobile pour réaliser cette opération.
Sophie
On est à peu près certain maintenant que le 11 septembre 2001 a été organisé avec les néo-cons, des gens du Mossad et d’Arabie saoudite. Résultat : près de 3000 morts. Tout a été là aussi mis sur le dos d’Al Qaida….
Les années suivantes nous montreront que l’Irak a été démoli pour rien (pas d’armes de destruction massive) Qu’en fait les Américains ont utilisé (et le font toujours) les djihadistes pour faire table rase de tous les pays capables de tenir tête à Israël. On a même vu Netanyahu dans un hôpital qui soignait ces islamistes et attaquer des cibles syriennes avec son aviation. Actuellement, il pousse à attaquer l’Iran, seul resté indemne de la liste fournie au général Wesley Clark après le 11 septembre.
Devant cette constatation, que Rockfeller confirmera à Aaron Russo, il est tout à fait possible que l’attentat à Madrid n’était en fait qu’une opération false flag.
A chaque fois on constate dans ces attentats complexes, des exercices ayant lieu juste avant ou pendant. Des élections proches. Des restrictions de droits pour tous les habitants, comme-ci peu à peu on voulait les mettre sous la coupe d’une dictature transatlantique.
Xavier
A chaque fois qu’il y a un attentat, on supprime des droits aux citoyens. On veut en faire des serviteurs dociles du système.
Dernièrement, Amazon va équiper ses employés d’un bracelet électronique (semblable à ceux détenus chez eux) pour mieux les surveiller et qu’ils soient rentables.
Ce système permet non seulement de vérifier la position de leurs mains quand ils sont au travail dans les entrepôts, mais aussi de calculer combien de pauses ils prennent.
http://www.huffingtonpost.fr/2018/02/02/amazon-depose-le-brevet-dun-bracelet-qui-surveille-ses-employes-au-travail_a_23351728/
Après le compteur linky qui contribue à donner des informations sur tout ce qu’on fait et à combien dans sa maison, voilà le mouchard individuel. Et les gens acceptent et continuent à voter pour leurs maîtres.
patphil
la “justice” espagnole vaut bien celle de france, d’angleterre et d’allemagne;
le suicide français, zemmour aurait pu écrire suicide occidental