La liste du Parti Populaire conduite par José Luis Martinez-Almeida n’avait obtenu que 15 sièges au conseil municipal. Mais en s’alliant avec Ciudadanos (11 élus) et Vox (4), le candidat de la droite espagnole a été élu maire.
Le maire sortant, Manuela Carmena, issu de la gauche, était pourtant arrivé en tête des élections municipales, le 26 mai, obtenant 19 des 57 sièges de conseillers municipaux
L’Elysée s’est inquiété de cette alliance entre les libéraux de « Ciudadanos et l’extrême droite». Les libéraux du parti espagnol Ciudadanos doivent siéger aux côtés de la liste Renaissance des partisans du président Emmanuel Macron, qui constitue la principale délégation au sein du groupe centriste « Renew Europe » créé sur les bases de l’ALDE (Alliance des libéraux et démocrates pour l’Europe) au Parlement européen.
Vox a dénoncé une « ingérence française » et a exhorté le gouvernement espagnol à « préserver l’indépendance des Espagnols » et expliquer « les mesures qu’il va prendre ».
Gaudete
Evidemment micron se croit obligé d’aller fourrer son nez chez les autres, il ferait mieux de regarder la poutre qu’il a dans l’oeil
philippe paternot
après les italiens, les espagnols nous montrent la voie à suivre!
union des plèbes pour renverser les bobos! que les catholiques y pensent
F. JACQUEL
Une fois de plus, JUPITER se mêle de ce qui ne le regarde pas. Que dirait-il si le Roi d’Espagne faisait des commentaires sur l’élection de Paris l’année prochaine ?
borphi
Macron le libéral fait étal de son extrême ingénuité concernant le libéralisme…
Prout
Non déjà parce que Pécresse n’appartient pas (et n’a jamais appartenu) au monde de la droite. Mais bon, sur l’ensemble de votre commentaire, vous n’avez pas tort…..