… titrait avant-hier le Figaro (sans doute inspiré par El Pais de l’avant-veille), à propos de fêtes traditionnelles dans le Sud de l’Espagne. Beaucoup de villes et villages suppriment cette année de leus festivités la scène de destruction d’une effigie de Mahomet, symbolisant la libération du joug islamique. Il n’est pas toujours clair d’ailleurs si l’effigie, parfois appelée le "Grand Turc", représente un sarrazin générique, ou le "prophète" de l’Islam.
Le Figaro rapporte que cette évolution est menée "sous la recommandation de l’Église catholique par respect pour les musulmans". Elle paraît en effet conforme à la voie de vérité dans la charité que trace Benoît XVI.
Mais la charité n’est pas la seule motivation dans ces suppressions : il y a aussi la peur de réactions islamiques violentes. Un maire déclare sobrement vouloir "éviter toute polémique". Où est le problème ? Dans le fait que si c’est la peur qui motive les Espagnols, et non la charité, il n’y a pas de limite à ce qu’ils cèderont à l’islamisation.
hb
Nous sommes les seules responsables du mépris que les islamistes ressentent à notre égard.
Ces gens-là ne respectent que le courage et la force.
Ils sont primitifs, dans le sens pas dégénérés par la «pensée » occidentale moderne.
A ce rythme là, l’Espagne est bientôt repartie pour près de huit cents ans d’ occupation musulmane.
Et nous, pour combien de temps ?
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remarquez que si l’école d’Espagne fabrique autant d’illettrés que celle de notre Rééducation nationale, on ne peut pas reprocher à ce pauvre maire de ne pas savoir s’exprimer.
Sur le fond,la prudence autant concernée que la charité en cette affaire est aussi une vertu.
Nos adversaires quelsqu’ils soient, n’apprendrons jamais à nous respecter que si nous sommes ce que nous devons être, au juste équilibre entre” Foi et Raison” cher à sa Sainteté Benoît XVI.
En outre je crois que la pratique rigoureuse de ces vertus nous aiderait, le cas échéant, à aller au delà si, par malheur, quelques sacrifices supplémentaires nous étaient demandés…
Javier
Je suis espagnol et devant cette nouvelle de Le Figaro j’ai à dire que la suppression de la destruction d’une effigie de Mahoma aux fêtes de quelques villages de l’Espagne succède parce que l’Administration à tous les niveaux (municipal, régional, étatal) n’est pas catholique et les partisqui dominent l’Administration (Partido Popular et Partido Socialista) ne sont pas catholiques, quand non ouvertement anticatholiques. Le peuple se trouve sans capacité de réaction et est anesthésié par l’avalanche de propagande pro-musulmane que leur envahit depuis les médias.