Le Parisien alerte sur une nouvelle crise :
Épuisées par des conditions de travail toujours plus éprouvantes, de plus en plus de sages-femmes délaissent les couloirs de l’hôpital pour s’installer en libéral. Un phénomène qui pourrait dès cet été «mettre en danger les patientes comme les nouveau-nés», alerte la profession.
Ce que l’article ne dit pas :
- Les sages-femmes pro-vie sont victimes de discrimination.
- alors qu’on leur demande de pratiquer des avortements médicamenteux.
Résultat : beaucoup de sages-femmes pro-vie décident de quitter l’hôpital pour travailler en libéral.
Et Le Monde découvre que, à l’hôpital, les urgences sont sous tension. Cela fait pourtant quelques années que nous tirons le signal d’alarme : les moyens octroyés à l’hôpital sont destinés à accroître l’avortement, quand dans le même temps, des urgences sont fermées.
Magistro78
La sage femme fait le boulot et est tenue d’appeler le gynéco juste avant l’arrivée du bébé. Le gynégo touche son cachet , la sage-femme reçoit des cacahuètes, la sécu et la mutuelle payent et le système se casse la figure.
Cherchez l’erreur avec un système de santé organisé autour du dogme de la relation maître-esclave dans un système financé de facto par l’impôt.
Collapsus
Saine réaction d’un personnel formé pour défendre et favoriser la vie.
Et la vaccination obligatoire des soignants annoncée ce soir va sûrement arranger les choses. Quelle bande de nœuds !
AFumey
“Le diable porte pierre” dit un dicton populaire.
L’idéologie commence à trébucher sur la réalité. C’est l’abandon des contraintes sanitaires dans une foire à Nantes parce que les visiteurs la boudaient. C’est le tarissement des flux des soignants par écœurement des protagonistes pressurés et mal payés, sauf en belles paroles.
La liste n’est pas close.
philippe paternot
un ça passe, deux ça lasse, trois ça casse !
à force de tirer sur la corde…. mais ils savent que certains ont encore de la conscience professionnelle, alors…