A 48 ans, un père de trois enfants d’origine malienne quitte son logement aux Ulis, dans la panique et la peur au ventre. Il s'y est résolu après que des jeunes ont lancé un cocktail Molotov dans le hall de son immeuble.
Quatre jours plus tôt, sa fille avait porté plainte après avoir été violée par une bande. En décembre déjà, elle avait déjà subi le même sort dans une cave de la cité.
"Dès que nous avons porté plainte, des groupes de jeunes, parfois des filles, sont venus sonner à l’interphone. Je leur ai dit de s’en aller, que l’on ne voulait parler à personne. Ils sonnaient en continu, j’ai dû appeler plusieurs fois la police. Nous étions barricadés chez nous, nous n’osions plus sortir."
Spitfire
Pas de panique! Copé a dit l’autre soir sur france 2 (on n’est pas couché) que les problèmes de burqua seront résolus par des contrôles d’identités! Je suppose qu’il en sera de même pour ces “jeunes” qui n’ont pas du faire exprès! Tout va rentrer dans l’ordre … France, Ô ma France!
HB2
Si même les allogènes sont victimes de l’insécurité, où va-t-on ?
Plus sérieusement, rien d’étonnant à ce fait divers sordide vu que les bandes de racailles pratiquent la terreur tant auprès des Français de souche voués à être chassés ou dhimmis qu’à l’égard des “leurs” qui eux-aussi doivent subir leur domination tribale. Un peu à la manière de ce qui se passe dans l’Afrique paradisiaque décolonisée…
M
[@ M.
Désolé, j’ai validé trop vite, “en tir groupé”. MJ]
Bucer
Les citoyens honnêtes devraient avoir le droit de porter des armes et de s’en servir.
Vive le 2e amendement de la Constitution américaine. Ca éviterait les intimidations unilatérales…