Jacques Toubon juge que, dans deux cas lui ayant été soumis, des personnes ont été interpellées « dans le seul but de les éloigner ».
"Pratiques policières douteuses, interpellations «illégales et arbitraires», «manque de discernement» et même destruction de pièces… Trois ans après les manifestations contre la loi Taubira qui ont émaillé l'année 2013, le Défenseur des droits, Jacques Toubon, vient de rendre deux décisions, fustigeant, dans deux affaires différentes, les méthodes de la police"