Lu sur L'Express :
"Des médias français ont commis plusieurs erreurs en suivant les manifestations pro-palestiniennes interdites en France, qui ont notamment donné lieu à des heurts à Paris et Sarcelles ces derniers jours. Le point sur les fausses informations qui ont circulé.
"INFO LE FIGARO – Une synagogue en partie incendiée dans le Val d'Oise, un commissariat attaqué". Voilà l'alerte info envoyée par le site du quotidien dimanche à 18h12. La première version de l'article évoque un bâtiment "vraisemblablement à Sarcelles", qui aurait été "en partie incendié", comme le note un journaliste du Monde sur Twitter.
Problème: la synagogue, bien que prise pour cible par des engins incendiaires, n'a pas brûlé. Le journal a reconnu son erreur en envoyant une deuxième alerte rectificative à 18h53 et en mettant à jour son article.
Le journaliste de LCP et Radio J est allé un peu vite en besogne dimanche. Il a raillé, sur Twitter, l'attitude d'un supposé manifestant pro-palestinien face à un policier. Sauf qu'il s'agissait d'une image prise en Iran, comme l'ont noté de nombreux observateurs.
Une fois averti de son erreur, l'intéressé a supprimé le tweet incriminé et s'est excusé. Sur sa page Facebook, le journaliste a reconnu avoir fait une erreur, mais estime qu'il n'y a pas eu de désinformation, car "il y a bien eu des heurts entre forces de l'ordre et manifestants à Sarcelles et que la synagogue a bien été visée".
Autre critique, venue notamment de Henri Maler, d'Action-Critique-Medias: un titre du site d'Europe 1 qui évoque une "centaine de participants" seulement à la manifestation pro-palestinienne à Paris. Un chiffre loin de la fourchette donnée par la police, écrit-il. Un petit rappel chronologique relativise cependant cette "bourde": à 15h, samedi, aucun chiffre officiel ne circule et les premières informations rapportées notamment par l'AFP évoquent "des dizaines de militants" qui commencent à affluer. Puis, à 15h41, une nouvelle dépêche de l'AFP fait état de "plusieurs centaines".
L'estimation de 1500 à 2000 participants à Barbès citée par Henri Maler émane du Monde, qui a contacté la préfecture de police dans l'après-midi samedi. Cette estimation a donc pu échapper à Europe 1 qui a, cependant, été un peu vite en écrivant "une centaine de participants". Le site a corrigé l'information le soir même. Difficile, donc, de l'accuser de mauvaise foi volontaire."
jejomau
exemple de journaleux pris sur le vif EN TRAIN de servir la cause palestinienne : Mr. Gilles-William Coldnadel n’a pas en face de lui UN seul contradicteur mais… DEUX !
Il doit se défendre à la fois contre celui qui “défend” la cause palestinienne et en même temps contre la journaleux qui est “POUR” la cause Palestinienne !!!
http://www.ndf.fr/nos-breves/22-07-2014/video-conflit-israelo-palestinien-gilles-william-goldnadel-vs-charles-saint-prot#.U894Y_yKDIU
Cosaque
… sans oublier que les premières attaques des synagogues ont eu lieu à cause des provocations violentes de la LDJ… qui a été obligé de se réfugier dans les synagogues…
Grosse baston ici entre LDJ et pro-palestiniens :
http://www.islametinfo.fr/2014/07/14/synagogue-la-roquette-ldj-coupable/
Qui sème le vent…
Bernard Mitjavile
Le journaliste de LCP et Radio J qui prend une photo d’Iran et dit après avoir fait “une erreur mais pas de la désinformation” parce qu’il y a eu des heurts entre manifestants et policiers a un certain culot. Au lieu de s’excuser platement pour un manque grossier de vérification des sources, il en rajoute en montrant qu’il n’a pas de respect pour la vérité des faits. Quelle irresponsabilité pour un “professionnel de l’information” ou de la désinformation! Hélas, ce n’est pas un cas isolé.
Fleur
On attend toujours de l’Express (et des autres torchons de menteurs patentés et subventionnés) de rectifier les désinformations de leurs confrères (et les leurs propres !), au sujet des “manifpourtous” de l’an dernier…
DUPORT
Ils sont tellement habitués à mentir qu’ils ne doivent même pas comprendre cette propension actuelle à le leur faire remarquer, alors qu’ils mentent depuis des décennies sans que personne ne dise rien…
Alors ils corrigent précipitamment, pour faire taire la polémique, tout en se demandant pourquoi il faut corriger des “informations” fausses…