Jeanne Smits nous fait un résumé de la Marche pour la vie qui a eu lieu à Lisbonne dimanche. On y trouve quelques bonnes idées à reprendre :
- La sonorisation de la manifestation faisait entendre les battements de coeur d’un foetus de dix semaines.
- tout le parcours de la vie était symboliquement parcouru avec des haltes pour donner la parole à des associations travaillant pour la vie et sa dignité à la conception, à la naissance, à l’enfance, auprès de la jeunesse, des adolescents, des adultes, des grands-parents.
- Une Espagnole ayant avorté douze ans plus tôt vint témoigner de ce que le vrai choix lui avait été refusé : celui de pouvoir garder son enfant.
A côté de cela, on apprend que des députés européens se sont déplacés au Portugal pour y soutenir l’avortement, jugeant que la législation sur l’avortement "se trouve en dehors des cadres civilisationnels normaux de l’UE (sic)" ! Car le véritable débat, qu’essaient d’escamoter les partisans pro-mort, c’est de savoir si oui ou non l’avortement tue un être humain. La petite ville de province de Covilhã, au Portugal, s’est réveillée samedi matin pour découvrir plantées sur les pelouses des quatre principaux ronds-points de la ville des petits croix blanches comme on en voit dans les cimetières militaires, portant l’inscription : « victime de l’avortement ».
xtophe
Donc pour être civilisationnellement correct, en européen dans le texte, il faut être inhumain.
Vivement qu’en plus d’être civilisationnel, ça prétende devenir constitutionnel, on votera NON en majuscule une fois de plus !!
avec bravitude, même ?
Olivier
Très fort, le coup du coeur qui bat. Là on comprend tout de suite que c’est un meurtre.