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Marion Maréchal : « Si on continue sur cette mécanique enclenchée, les Français de souche seront minoritaires autour de 2050.»

France : Politique en France / Vidéos

Marion Maréchal est interrogée par le Livre Noir. Dans cet entretien, elle évoque son parcours, ses idées, ses réflexions, son parcours, sa personnalité : son héritage, ses rencontres marquantes, l’ISSEP / Gramsci et le combat culturel, le Great Reset, le rôle des réseaux sociaux, l’avortement et la liberté de la femme, les grands défis de notre époque, l‘écologie, l‘union des droites…

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4 commentaires

  1. Si elle continue, elle va se décrédibiliser. Elle ne fait qu’enfoncer des portes ouvertes.
    Elle est blonde après tout.

  2. les français ne s’aiment pas, ils préfèrent se suicider lentement mais surement

  3. Je trouve qu’elle est très clairvoyante et je partage sa vision du libéralisme que l’on peut résumer ainsi :
    « le libéralisme (économique) est un bon serviteur mais un mauvais maître. »
    A mon sens, les dérives actuelles du libéralisme sont dues au fait qu’il a été érigé en absolu, en religion.
    C’est ce que Marion Maréchal dit lorsqu’elle parle du libéralisme de Tocqueville qui pouvait s’entendre à une époque où la religion avait encore une place importante.
    Cela rejoint l’analyse de Patrick Buisson qui attribue l’essentiel de nos maux à l’écroulement du catholicisme.
    Quel que soit le système politique et économique, ce qui prime, ce sont les valeurs et les principes moraux immuables qui, comme le disait Jean-Paul II, sont inscrits au cœur de l’homme.
    Jules Ferry parlait aussi de « la morale de nos pères, la morale de toujours ».
    Si libéralisme des mœurs n’est en aucun cas acceptable, le libéralisme économique présente des avantages certains.
    Lorsque Reagan et Thatcher sont arrivés au pouvoir aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, ils ont formidablement relevé leur pays grâce au libéralisme économique.
    Les excès ont été de chercher du rendement dans les services, par exemple dans la santé, la Poste l’eau, l’électricité et dans une certaine mesure, le transport ferroviaire.
    Difficile également d’appliquer la libre concurrence dans des domaines qui fonctionnent en réseau : rail, électricité …
    Mais surtout la grande catastrophe a été de vouloir entendre le libre échange sans discernement , sans règle et sans frontière au monde entier.

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