Lu ici :
Dans 50 ans, il n’y aura plus de racistes, juste des poches de blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable. Et au bout d’un moment, cela ne fera même plus partie de la conscience commune de juger quelqu’un pour la couleur de sa peau, parce que tu sauras même plus de quelle couleur est sa peau.
Cette déclaration ressemble étrangement à ce que décrivait Jean Raspail dans ce magnifique texte, la Patrie trahie par la République où il écrit :
“(…) Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération (…) Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française”
Gilles Tournier
Ce tableau effrayant est encore optimiste car il suppose que les forces à la manœuvre laisseraient subsister des poches de résistance. Je n’en crois rien ! Pensez à la Vendée, rebaptisée Vengée pendant la Terreur, l’appel à l’extermination complète, au génocide des populations contre-révolutionnaires. L’Ennemi ne peut pas tolérer une victoire partielle car la résistance peut renaître d’un tout petit foyer et il le sait ! Les expériences communistes le démontrent d’où le combat acharné mené en Chine pour éradiquer tout vestige antérieur.
Bernard Mitjavile
La question derrière toutes ces déclarations antiracistes est qu’elles confondent ce qui est important, la culture avec son noyau religieux, dans le cas de l’Occident la culture judéo-chrétienne matinée d’Hellénisme à l’origine de nos valeurs, nos institutions, nos systèmes familiaux et la couleur de la peau qui l’est nettement moins. Il ne s’agit pas de vouloir défendre la race blanche pour sa couleur de peau mais pour la culture qui a été majoritaire au cours des derniers 15 siècle en Europe. Des blancs défendant les lois “bioéthiques” ont une influence au moins aussi pernicieuse sur notre socle culturel que des immigrés de cultures très éloignées avec des valeurs dans une certaine mesure opposées aux nôtres ce qui n’est pas bien sûr le cas de tous les immigrés, quelque soit la couleur de leur peau. Ainsi un catholique se sentira plus proche du cardinal Sarah, un protestant blanc du pasteur Martin Luther King que d’une féministe radicale considérant les hommes comme des violeurs ou de simples donneurs de sperme.
Bernard Mitjavile
D’accord, mais ce qui a marqué le plus l’Europe à mon avis, c’est le Christianisme. D’ailleurs, il y a un mystère pour moi, comment les Vikings entre autres ont accepté si rapidement le Christianisme après avoir pillé églises et monastères alors que leur culte semblait assez éloigné, peut-être étaient-ils préparés d’une façon mystérieuse.
2018
Ah bon ? Les gauchistes qui méprisent les Blancs auront donc disparu ? Les GAFA qui effacent la visibilité des Blancs dans leurs pubs ne racialiseront plus leur communication ? Google arrêtera de spécifier quels commerces sont tenus par des Noirs ? Ca m’étonnerait.
Hubert
Les gens qui s’imaginent qu’il n’y aura plus de racisme lorsque tous les hommes seront gris oublient qu’il y aura toujours des gros et des maigres, des grands et des petits, des riches et des pauvres. Sans compter que si ce fantasme se réalise tout le monde ne sera pas du même gris, il y aura toujours des gris clairs et des gris foncés.
Ce sont toujours les mêmes qui nous vantent la diversité et paradoxalement rêvent d’uniformité.
philippe paternot
couleur de la peau ou couleur de l’ame ?