Dans Marianne, Violaine des Courières consacre un dossier à la tyrannie de la diversité qui règne dans les entreprises du CAC40.
Drapeau LGBT + dans les signatures des courriels, formations sur la diversité, questionnaires sur la transidentité… Certaines multinationales françaises imposent une vision politique à leurs employés et donnent une dimension communautariste à l’entreprise.
Paul*, 38 ans, travaille au département des ressources humaines de la filiale française d’un grand groupe anglo-saxon. Jusqu’à présent, il plébiscitait les politiques de diversité : lutter contre les discriminations ne pouvait qu’être un plus pour l’entreprise. Mais, en l’espace de quelques mois, cette question a pris une tournure politique. « Ma chef m’a interrogé sur le sigle LGBT +. Comme je ne savais pas définir le terme de “queer”, elle m’a conseillé très fortement d’avoir une formation sur le sujet » s’étonne le salarié. Et de raconter : « Lors du mois des fiertés, tous nos portables professionnels ont eu pour écran d’accueil le drapeau LGBT +. Un collègue a téléchargé une autre image à la place, il a reçu une remarque d’une de ses responsables. »
Poussée au paroxysme, la politique de l’inclusion et de la diversité contraint les salariés à intégrer les valeurs arc-en-ciel au même titre que celles de leur groupe. En promouvant les minorités, des employeurs imposent à leurs salariés des idées politiques loin d’une approche universaliste classique : « On attend d’une entreprise que, telle une personnalité politique, elle soit cohérente avec les principes qu’elle affiche, mais aussi qu’elle ait quelque chose à dire sur tout. L’enjeu n’est plus seulement d’apparaître comme une “entreprise citoyenne” au programme RSE [responsabilité sociétale des entreprises] exemplaire, mais bien de savoir prendre position sur des sujets de société clivants », explique David Nguyen, directeur conseil au département Opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop, dans une tribune publiée dans le magazine Stratégies en avril 2019.
En juin 2020, les salariés de Coca cola France recevaient un guide pour apprendre à dénommer leurs collègues selon leur genre. Que se passe-t-il lorsque les salariés ne s’approprient pas ces formations ?”Malgré l’article L.1132-1 du Code du travail, il arrive que des employeurs fassent des allusions aux opinions de leurs salariés pour les déstabiliser”, affirme Ameline Moreau, avocate en droit du travail.
Classico
J’ai quitté il y a 4 ans une de ces entreprises le jour même où le lobby LGBT était intervenu une heure en Comité Exécutif. Le PDG en était si fier.
HG
Merci de bien vouloir nous citer quelques uns des noms de ces sociétés lavant le cerveau de leurs employés.
…..Nous pourrons alors réorienter nos achats en les évitant.
Chouan85
Le problème avec ces entreprises, c’est qu’avec le rachat d’autres sociétés, nous devrons tout boycotter, mais nous pouvons quand même réduire fortement nos dépenses chez eux.
Classico
Cher HG, malheureusement toutes les grosses sociétés y passent. Allez vérifier sur leurs sites…
Si vous voulez orienter vos achats il faut privilégier les structures à taille humaine.
Sur les banques et la grande distribution c’est difficile. Sur le reste on peut, même assurances ou téléphonie…
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Je pense que tout cela entre dans le monde de l’entreprise via les cabinets de conseil tel que McKinsey et autre …
Greg N
Je confirme. Chez Capgemini nous venons de recevoir des recommandations :
1/ le sujet des minorités LGBT etc..doit être abordé a chaque entretien d’embauche, et doit être a l’agenda de toutes les séances globales RH.
2/ Un guide de language inclusif est donné aux employés
3/ On incite les employés à adhérer au groupe public interne de soutien aux LGBT.. ce qui est ni plus ni moins une du flocage.
Ma réponse ?
1/ le langage dit “inclusif” exclus en réalité les personnes dyslexiques, tant il est pénible a déchiffrer. Je ne l’utilise pas et je demande à ne pas l’utiliser avec moi.
2/ les seules discriminations que j’ai vu en 20 ans de métier, ce sont des discriminations contre des femmes qui venaient d’accoucher et que l’on cherchait à licencier en conséquence. Que fait on pour lutter contre cette discrimination, d’autant plus odieuse qu’elle s’attaque à des femmes en situation de faiblesse ?
3/ je refuse de m’intéresser à la sexualité de mes collègues, ce sujet est simplement hors de propos dans le cadre du travail.
VIVANT
La gangrène ! Vous savez que le salut nazi était pratiqué partout dans les entreprises de l’Allemagne hitlérienne. Il suffit de voir comment des entreprises américaines prennent position contre Trump et pour le wokisme. Cela s’appelle ‘le système’ oligarchique mondialisé et proche de l’onusisme pour tous.