Le ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a décidé, en recevant plusieurs associations de lutte contre l'homophobie, d'écrire aux présidents des universités et écoles du supérieur pour souligner le caractère institutionnel de la campagne contre l'homophobie. Mme Pécresse a pris cette décision après avoir entendu des responsables d'associations témoigner que des affiches de cette campagne avaient été arrachées dans certains établissements d'enseignement supérieur.
Dans son courrier, la ministre va souligner auprès des présidents d'universités et de grandes écoles le caractère officiel de cette campagne. En juin, 2 premières affiches avaient été diffusées à 40.000 exemplaires, dans les lieux universitaires et aux associations. Cette fois, il s'agit de 4 affiches, diffusées dans les établissements universitaires, les commerces de proximité des grandes villes et remises aux associations, ainsi que d'une campagne sur internet jusqu'au 13 novembre. Néanmoins, le minister a reconnu :
"Il n'y a pas de chiffres et pas d'enquêtes spécifiques sur cette question".
jp
Ouh!!! Les vilains, ils ont osé arraché des affiches…….
On n’avait jamais vu ça avant dans une faculté, c’est sur!!!!!
C’est d’une homophobie qui mérite au moins la correctionnelle!!
On est dans l’hystérie la plus complète!!!
titou82
Le pire c’est que la populace française laisse faire sans réagir , le peuple se laisse endoctriner , il se laisse bourrer le crâne , il accepte de se faire manipuler comme des animaux dociles….moi je dis que face à l’homofolie , vive la Russie qui elle sait remettre à leur place ces pervers !
Oxident
Toute affiche rencontrée sera arrachée.
OXIDENT
Tonio
Il me semble qu’avant de se préoccuper de ce qui relève de la responsabilité de l’un ou l’autre de ses collègues, elle devrait s’inquiéter de ce que ne se renouvelle pas cette année le scandale des grèves universitaires qui nous ont ridiculisées à travers le monde entier.
Oxident
Samedi dernier une association “LGBT” distribuait des tracts pour promouvoir “l’homoparentalité” à Nancy et l’article du journal local racontait qu’ils s’attendaient à voir leur tracts déchirés; au contraire, ils ont été agréablement surpris d’une “bonne réception” par les passants des-dits tracts.
Je me demande de plus en plus ce que j’ai en commun avec ces “Français” et cette soit disant “France”.
marteo
Des élèves de l’École Polytechnique, fleuron historique (et républicain – mais également catholique, fut une époque) de la formation des Élites françaises, on jugé bon d’arracher ces affiches. Un peu de baume au cœur à l’heure de la décadence du milieu des Grandes Écoles.