Alors que nos médias fustigent régulièrement Berlusconi, parce qu'il possède un empire médiatique, un article du Corriere della Serra remet quelques pendules à l'heure. Extraits :
"Les deux chroniqueurs qui avaient mis en ligne sur le site du Journal du Dimanche l'information sur l'infidélité présumée et réciproque entre Nicolas et Carla Bruni ont été licenciés. (…) Sarkozy, surtout quand il s'agit de sa femme du moment, sait être vraiment méchant. En août 2005, Paris Match fait sa couverture sur Cécilia Sarkozy. Mais à ses côtés il n'y a pas son mari, alors ministre de l'Intérieur, mais son amant, Richard Attias, publicitaire et milliardaire. Là encore, l'éditeur est Lagardère. Le directeur de Match, Alain Genestar, est licencié. Tout ce qui pourrait frêner l'ascension de Sarkozy à l'Elysée doit disparaître. Les exemplaires de la biographie de Cécilia sont envoyés au pilon plutôt qu'en librairie. Quand le couple renoue, c'est encore Paris Match qui publie en couverture les photos de leurs vacances à Londres."
L'article cite plusieurs autres exemples de ce qui ne sucitent même plus l'indignation du peuple français. Et il en vient au parallèle avec Berlusconi qui, selon ses détracteurs, a la main mise sur la presse et les télévisions, et qui dans les faits est bien loin d'exercer une telle police de l'information.
VD
D’où l’intérêt pour l’information par internet, et par le Salon beige !