Après les voyous auvergnats, voici les Ch'ti :
"Omar, vendeur à la sauvette, 36 ans, originaire de Mons-en-Baroeul (Nord) est monté vendredi soir à la capitale pour vendre à Barbès (XVIIIe) ses cigarettes de contrefaçon. Ce samedi, Omar est en garde à vue dans les locaux du commissariat du XVIIIe.
Sa virée s’est soldée par une belle frayeur dans le quartier. En cause ? Une embrouille commerciale avec ses « collègues », « vendeurs du cru », agglomérés autour de la station de métro Barbes, qui n’ont pas vu d’un très bon oeil cette « concurrence déloyale ». Et l’ont délogé sans grâce. Le Ch’ti est alors revenu pour se venger non sans s’être équipé d’arguments brûlants. Grimpé à la station Barbes, il a lancé d’en haut plusieurs cocktails Molotov, visant le trottoir du boulevard de la Chapelle et plus particulièrement les stands de fortune des vendeurs de tabac.
Les policiers du XVIIIe arrondissement, prévenus, sont venus l’interpeller. Le vendeur nordiste était encore sur les quais, allumant avec un briquet une de ses bouteilles d’essence coiffées d’un chiffon, et la jetant en feu sur les rails à l’arrivée des policiers. Ces derniers l’ont mis en joue et plaqué au sol. Une trentaine d’hommes, principalement les autres vendeurs à la sauvette, sont alors montés dans la station, ont entouré de manière menaçante les représentants de l’ordre, insultant et rouant de coups le vendeur nordiste à terre.
Omar a été ramené au commissariat à 20 h 15, dans des conditions difficiles, entourés d’une foule hostile. Les policiers, pris à partie, ont dû user de gaz et d’une grenade lacrymogène pour pouvoir se frayer un chemin."
bébert
les Ch’tis sont dangereux, et, d’une façon générale : les FRANCAIS
d’ailleurs ça commence à se savoir, y compris outre-atlantique: les Français (vindicatifs,arrogants et RACISTES, attaquent les magasins cashers, etc.. etc..)
seuls les Chinois ne semblent pas au courant, derniers touristes à venir nous visiter
Meltoisan
Monsieur le Président, les chances pour la France font-elles vraiment baisser le chômage ?
Bien sûr, me direz-vous, il y a les emplois aidés, les nouveaux emplois créés grâce à eux comme la police de proximité, les éducateurs sociaux, les psychiatres, les bénévoles de toutes sortes, les assoces, les professeurs de langues exotiques, la construction de lieux de prière, les agences de sécurité, les artisans et réparateurs en tout genre, les assureurs, les hôpitaux, …
Mais en ce qui concerne le bilan économique, social et culturel pour la France, que dite-vous ?
Que le problème est en Pologne… ?
Ah, d’accord ! S’cuzez-moi de pas avoir compris plus tôt, chef !
Et surtout, pas d’amalgame envers ces braves polonais, svp…
FR
Et moi, je suis un papou de Nouvelle-Guinée.
Reine Tak
Les Ch’tis sont dangereux, mais pas les “Marseillais”.
A Marseille, il n’y a pas de terroristes islamistes, il n’y a que des fadas !
Arwen
La remigration ne doit plus être une idée tabou mais bel et bien un projet politique et social.
La Reconquista ne s est pas faite en un jour mais il faut une volonté politique derrière.
lavandin
Omar un prénom du Nord ? plutot du nord de l’Afrique !!
Maurice
« originaire » ?
– Venait – serait plus juste, car à ma connaissance le prénom de Omar n’est pas ch’ti ou un ch’ti nord africain !
Hugh
Un chti…
Un jeune…
Un déséquilibré. ..
Une chance pour la France. ..
La France se serait-elle mise au très british “understatement”?
n
Tout est dit ici, à partir de 2mn13s :
http://www.dailymotion.com/video/x7d5h
vu de sirius
Ceci posé, si tous les déséquilibrés ne sont pas djihadistes (la preuve ci-dessus), il me semble que tous les djihadistes sont des cas psychiatriques. Donc prenons les journalistes au mot : puisqu’il y a tant de déséquilibrés de nos jours (ce qui est vrai, ,du reste), militons pour la réouverture des établissements psychiatriques fermés depuis les années 70 , idéologie “antipsychiatrique” oblige…
Irishman
Pour aller dans le sens de ce que dit vu de sirius,, il faudrait également réouvrir les établissements permettants aux chauds lapins de se “soulager”, évitant ainsi certaines agressions sexuelles…
Comme disait Gabin dans le film “Le Pacha”, à propos de ces établissements : “il y en avait autrefois, mais on les a fermé en 46 !”