Dans Famille chrétienne, Marie Hélène Morel (commissaire générale branche guide) justifie ainsi l’attitude de la Fédération Française des Scouts d’Europe :
"Nous bénéficions d’une autonomie statutaire, qui nous permet d’édicter des règles particulières, ce qui ne veut pas dire que nous ne reconnaissons pas la légitimité de l’ancien missel. Seulement, la pratique liturgique de notre mouvement se fait selon le rite de celui de Paul VI".
Alors que le Motu Proprio parle d’un seul "rite", sous deux "formes".
L’évêque de Vannes répond :
"Le texte publié par l’association française des Guides et Scouts d’Europe est maladroit. C’est un abus de droit, parce qu’une norme particulière ne peut pas restreindre les facultés accordées par une norme générale".