Mgr Georges Abou Khazen, vicaire apostolique des Latins d’Alep, dénonce :
« Même l’Occident commence à comprendre le poids et la violence de ces gens-là (…) Les ventes d’armes doivent cesser. Les entraînements de ces gens doivent cesser. Il n’y a aucune différence entre tous ces groupes. Il n’y a pas des opposants et des terroristes. Il n’y a pas des modérés et des fondamentalistes. Nous devons cesser d’armer et d’entraîner ces gens-là. Comment peut-on les considérer comme des criminels dans un pays et comme des combattants de la liberté dans un autre ? (…) Nous devons nous concentrer sur le dialogue avec les imams modérés et les responsables religieux, et non avec eux qui sont financés de l’étranger qui promeuvent une logique de violence et de terreur ».