Samedi 11 décembre, le Cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, a déclaré sur Radio Notre Dame :
"dans notre société européenne, et en France aussi, il y a un environnement ou un contexte qui encourage ou qui autorise des actes de profanation. Les profanations dans les cimetières sont des événements qui sont à la frontière de l’agression religieuse et à la frontière de l’agression tout simplement humaine mais ça veut dire que cela correspond à une perte du sens des lieux sacrés ou des objets sacrés ou du respect qu’on doit aux convictions des autres et je pense que ce manque de respect à l’égard du christianisme prend une place de plus en plus importante, ce qui se comprend très bien du fait qu’une part de plus en plus importante de la population, ou n’est pas chrétienne, ou n’a pas été catéchisée, n’a pas appris les repère, les signes qu’il faut respecter. Donc je crois que nous devons […] être très attentifs à chaque événement et réactifs à chaque événement de façon à ne pas laisser passer l’idée que, de toute façon ça n’a pas d’importance qu’on attaque un cimetière, une église, tout ça, c’est sans intérêt… Eh bah peut-être que c’est sans intérêt pour beaucoup de gens mais pas pour nous."
Xavier Soleil
Déclaration a minima… En fait, rien n’a changé depuis l’usurpation du pouvoir par la république franç-maçonne en 1870. L’anti-catholicisme y a toujours été de rigueur.
LB
Qu’il en parle à ses amis imams et rabbins.
Jean Theis
Comme toujours, à minima,juste pour passer l’examen ad limina.