Questions à Florent Chaveton, directeur de l’Institut Karol Wojtyla, à propos des 5 soirées sur l’anthropologie organisées par les Accueils Louis et Zélie (pour s’inscrire c’est ici)
Quel peut être l’intérêt de participer ?
L’anthropologie chrétienne ? Bof… Pourtant, quelle étrange idée de vouloir passer sa vie sans se connaître soi-même et l’autre. Pourrait-on bien s’aimer soi-même et aimer l’autre sans avoir toucher le mystère de la personne ? La formation est un point de départ qui met l’eau à la bouche pour goûter ce mystère.
Qui peut être concerné par ces soirées ?
Tous ceux qui sont passionnés par la personne humaine et qui ont le souci de l’autre, ne veulent-ils pas mieux connaître la personne pour mieux l’aider ?
Et quand on est dans une situation difficile n’est-il pas trop tard pour connaître la personne ?
Là où il y a de la souffrance, il y a un grand besoin de lumière, et cette lumière du mystère de la personne est apaisante et stimulante.
Pourquoi est-ce si important pour la jeune génération d’avoir conscience des fondamentaux de l’anthropologie ?
Un jeune n’est-il pas aussi une personne humaine ? Bâtir sa vie sur le roc c’est bâtir sa vie sur l’amour. Mais l’amour est-il possible sans connaître la personne ?
Et si j’ai des cheveux blancs ?
Entrer dans le mystère de la personne c’est toujours entrer dans la joie d’une vérité qui éclaire nos vies. Pourquoi âgés devrions nous nous priver de cette joie ?
