A la radio catholique portugaise Radio Renascenca (v.o.), qui lui demandait si la crise migratoire pouvait être l’occasion d’un réveil des consciences en Europe, le pape François a répondu lundi :
« C’est possible (…) Je dois aussi dire que, de nos jours, les conditions de sécurité (…) ne sont pas les mêmes qu’à d’autres périodes. La vérité, c’est qu’à seulement 400 kilomètres de la Sicile, il y a un groupe terroriste incroyablement cruel. Il y a donc un danger d’infiltration, c’est vrai. »
Dans le même entretien, il explique que si l'Europe est confrontée à une pression migratoire c'est parce qu'elle ne fait plus d'enfants.