… des poussins.
«Chaque jour, des milliers de poussins nouveau-nés sont déchiquetés vivants (50 millions par an) parce qu'ils sont considérés comme de simples déchets. Cette cruauté a trop duré»
… des poussins.
«Chaque jour, des milliers de poussins nouveau-nés sont déchiquetés vivants (50 millions par an) parce qu'ils sont considérés comme de simples déchets. Cette cruauté a trop duré»
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Exupéry
C’est évidemment regrettable, mais la confrontation de cette réaction de parlementaires avec la politique cynique de l’avortement, qu’ils soutiennent par ailleurs, s’impose de plein droit.
Zoolâtrie… Si l’homme ne se reconnait pas “Enfant de Dieu”, non seulement il ne peut plus distinguer sa destinée de celle des animaux… mais dans nombre de cas il se soucie plus des bêtes que des humains!
Martina
Par contre on ferme les yeux sur le meurtre de 22000 êtres humains chaque année en France….
Que fait on des morceaux ?
Les vend on comme aux USA pour la recherche et l’enrichissement des associations et des médecins ” chercheurs ” ?
Que les journalistes s’interrogent….
Broke
@Exupéry Je ne crois pas que la réaction de ces parlementaires témoigne d’une quelconque “zoolâtrie”. Notre époque d’ailleurs, contrairement à ce que l’on entend souvent, est fort peu “zoolâtre”. La somme de souffrances infligées aux animaux (liées notamment à l’élevage intensif) est (comme le montrent ces pratiques) en expansion constante et concernent des milliards de créatures.
On peut considerer qu’elles pèsent peu au regard des réalités de l’avortement ignorées (quand ce n’est pas célébrées) par ces mêmes parlementaires, mais en l’espèce la réaction de cette petite poignée est saine. Tout n’est pas permis à l’homme à l’égard des bêtes.
C.B.
Pas eu le temps de lire tous les commentaires sur la page en lien, mais pour la demi-douzaine que j’ai lus, AUCUN ne fait le rapprochement avec l’avortement, qui n’est visiblement pas perçu comme une assassinat (homicide volontaire avec préméditation).
Exupéry
@ brooke
Certes, les industriels ne sont pas zoolâtres, fric oblige, mais la sensiblerie écologique (et surtout écolâtrique) en est fortement teintée.
je pourrais argumenter durant des pages sur la zoolâtrie:
– d’Yves Paccalet (normalien, philosophe, Pdt. de Green Cross France) pour qui le mythe du bon sauvage (pour lui “100% des hommes sont méchants”) est remplacé par celui du “bon animal sauvage” et qui (ignorant sans doute la cause de nombreuses famines antérieures à l’invention des insecticides) affirme que « Les bêtes nuisibles sont une catégorie née du cerveau d’un névrosé ! »
– à Peter Singer (Pr. Bioéthique à Princeton, ex Pdt. Comité National d’Éthique US) qui affirme froidement : « Une souffrance physique infligée à l’homme ne doit pas peser moralement plus que la même souffrance infligée à un babouin. », et encore : « Un chimpanzé et un cochon se rapprochent bien plus du modèle d’un être autonome et rationnel qu’un nouveau né … c’est pourquoi la vie d’un nouveau-né a moins de valeur que celle d’un chien ou d’un chimpanzé. » Et de conclure : « La doctrine du caractère sacré de la vie humaine, n’est plus défendable ! »
– en passant par Susan George, altermondialiste, Présidente de l’Observatoire de la mondialisation,qui exposait dès 2000, dans “Le rapport Lugano”, la nécessité de réduire la population mondiale de deux milliards d’habitants ; « L’épanouissement de la vie non-humaine exige que se produise une telle diminution » précisait-elle!
– ou par le prix Nobel Isaac Singer (dont les parents sont pourtant passés par l’Holocauste) qui affirme (en une analogie nauséabonde) à propos des animaux de boucherie : « Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis : pour les animaux c’est un éternel Treblinka. »
je n’ai pas le temps d’en dire plus, mais allez simplement dans n’importe quel supermarché et mesurez la longueur de rayonnages dévolus aux aliments pour bébé et aux aliments pour animaux domestiques… le résultat est édifiants.
Cette zoolâtrie à aussi des conséquences économiques. Souvenez vous, B.B. et les gentils bébés phoques, certes c’était une boucherie dégradante… Mais on les a tellement surprotégés que maintenant, en mer Baltique, les phoques mangent autant de poissons que les pécheurs industriels n’en prélèvent, on limite donc leurs quotas… (http://www.sciencedaily.com/releases/2012/04/120402112826.htm?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+sciencedaily+%28ScienceDaily%3A+Latest+Science+News%29)
En Écosse, pour tenter de reconstituer les bancs de morues, les quotas de pèches ont été diminués de moitié, mais les phoques mangent la plus grande partie de ce qui est ainsi “économisé”! (http://www.sciencedaily.com/releases/2015/05/150518081726.htm)
Bien des gens peu fortunés aimeraient manger du poisson plus souvent, mais les phoques passent d’abord. Très peu le savent, car personne n’en parle, zoolâtrie oblige.
meltoisan
Pour ne parler que des animaux (les humains peuvent attendre) …
Après “30 millions d’amis” qui dénoncent l’abandon d’animaux cet été, après l’horreur du lancer de chats condamné avec une peine de prison ferme, après les combats de coq, la corrida, … voici le broyage de poussins !
Que va-t-on trouver demain ?
Pour ce qui est de l’abandon des animaux l’été, on joue sur la compassion vis-à-vis de ces êtres sensibles et on fait même un appel subtil à la délation :
——————
« … je dénonce la cruauté de l’abandon »
http://www.30millionsdamis.fr/la-fondation/nos-campagnes/attentionetresensible/
——————
Mais rien sur l’abatage sans étourdissement répandu en Europe et pratiqué à grande échelle contre les lois et coutumes de nos beaux pays. Donc abandonner un animal, c’est horrible mais l’égorger avec un couteau et le laisser se vider de son sang dans d’atroces souffrances pendant de longues minutes, ce n’est pas grave !
Ils seraient crédibles à tout condamner ou rien… C’est un peu comme pour les génocides (d’humains cette fois), il y a les bons et les mauvais… ceux dont on peut parler… et les autres comme le génocide vendéen… qui n’existe pas malgré les preuves historiques irréfutables !
Stephe
Les parlementaires ne se bougent que si cela paie dans les médias. Pleurer des larmes de crocodiles devant les massacres d’animaux ne les mènent cependant pas jusqu’à demander l’interdiction des abattages rituels, faut quand même pas exagérer.
AKABAMOFOU
Il y a erreur, ce n’est pas 22 000 mais au moins 220 000 bébés par an en France qui sont déchiquetés et aspirés du ventre de leur mère pour être jetés dans les poubelles des hopitaux de l’assistance publique.Dans différentes villes de France depuis plus de quarante ans , des sacs poubelles contenant des foetus étaient retrouvés sur la Voie publique et signalés à la Police, à chaque fois il s’agissait de chiens errants qui avaient trouvé et éventré les sacs poubelles du CHU ……Je m’interroge sur cette erreur de 22 000 au lieu de 220 000? On entends toujours parler de SIX MILLIONS et non de 600 000 voyez vous?
DUPORT
Une société qui ne respecte même plus ses propres enfants et ne respecte pas plus les animaux.
C’est effrayant de barbarie, de cruauté et d’irrespect de la création.
Ceux qui imaginent de telles méthodes ou les mettent en pratique devraient être passés aussi au broyeur…
C’est sans doute à force de tolérer ce genre de choses que l’on finit par trouver normal de tuer des bébés.
Semper Fidelis
Que ce soient des êtres humains ou des animaux, tous créatures de Dieu, ils n’ont plus leur place dans notre société actuelle qui ne respecte que le droit individuel et la course à l’argent…
O tempora, ô mores !
Auri sacra fames !