Un mois et demi après l’interdiction des prières dans les rues de Barbès à Paris, la cohabitation est difficile entre responsables musulmans originaires du Maghreb et ceux de l’Afrique subsaharienne, qui se disputent le contrôle du nouveau lieu de culte. Le cheikh Salah Hamza, imam d’origine algérienne, s'oppose à Assani Fassassi, secrétaire général d’origine béninoise de la Fédération française des associations islamiques, des Comores et des Antilles. La préfecture de police attend toujours les statuts de l’association devant gérer ce nouveau lieu.