Outre de nombreuses sources, comme la Parole de Dieu et la liturgie, le principal inspirateur de Pierre Henri-Rousseau n’est autre que Fra Angelico, ce peintre incontournable devenu le saint patron des artistes. "Auprès des moines et à l’école de saint Benoit, confie-t-il, j’ai découvert ce qu’était vraiment l’art, j’ai compris que le monde visible était là pour nous conduire à Dieu.»
L’exposition publique scandaleuse au cœur de Paris dans le plus grand centre d’art européen, (largement financée par nos impôts) sous prétexte de liberté d’expression ou de liberté artistique, présente une peinture pédophile (que je ne peux qualifier d’œuvre) décrite comme libération extériorisée de la souffrance de l’auteur (que je ne peux qualifier d’artiste). Les adeptes de la « libération des mœurs » en particulier une certaine presse qui se dit « progressiste », par une sorte de validation malsaine de cet étalage infâme, font une fois encore la promotion de la pédocriminalité en consacrant par une critique favorable à ce genre d’exhibition, cette exposition innommable.
Très bel article de Jérôme Serri (ancien collaborateur parlementaire et journaliste littéraire) dans Causeur sur l’art: Dans une civilisation chrétienne en voie de déchristianisation progressive depuis au moins le XVIIIème siècle, dans une civilisation où le matérialisme historique crut remplacer avantageusement le finalisme religieux, dans une civilisation où le développement des […]
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