Une fois encore la dictature haineuse va à l’encontre du choix référendaire des Français qui a rejeté le traité constitutionnel européen de 2005. Les parlementaires méprisent le peuple en ne prenant pas en compte la volonté de nos compatriotes. Ces hypocrites déloyaux prouvent qu’ils sont déconnectés des réalités du terrain. Leur écoute de nos concitoyens s’apparente à une surdité d’autant plus chronique qu’elle s’avère volontaire. Le dédain manifesté par les députés pour la démocratie démontre une fois de plus le despotisme que nous subissons au jour le jour, par petites touches successives, et nous assujettissant davantage au dictat d’une oligarchie qui pense nous faire subir impunément son despotisme.
Nous devons en finir avec le despotisme du régime oligarchique technocratique, diversitaire et diviseur, tenant de l’expression du politiquement convenu et adepte du mépris du peuple. Les malfaisants œuvrent sans relâche à nous déraciner en nous privant de notre libre-arbitre et tentent de nous enfermer dans une prison psychologique en nous appauvrissant et en nous réduisant à la mendicité. La violence des gestionnaires gouvernementaux, ces derniers jours, mais aussi la haine à laquelle ils acculent les Français les uns envers les autres s’avère d’autant plus diabolique que la division leur permet avec cynisme et perversité de manœuvrer pour imposer leur dictature.
Hubert Védrine accorde un long entretien aux Echos. Extraits : La demande de frontières formulée par les peuples préfigure-t-elle un mouvement de démondialisation ? Les élites sont bien obligées d'admettre que les peuples occidentaux, classes populaires puis classes moyennes, rejettent une mondialisation trop massive et trop perturbatrice et l'immigration de masse. […]
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