De Clémentine Jallais sur Réinformation.tv :
"Un rapport instructif de l’organisation écossaise de défense des droits des homosexuels, « Stonewall », révèle que la majeure partie des jeunes dits « transgenres » se font volontairement du mal, un mal allant jusqu’aux mutilations, voire jusqu’au suicide. Un comportement qui dénote un malaise profond, un trouble psychologique intense – et réel, comme le montrent fort bien les chiffres. […]
En effet, les 400 élèves écossais LGBT interrogés ont révélé que 96 % des jeunes transgenres du pays s’engagent dans des comportements autodestructeurs, dépression, anxiété, mais aussi mutilations et suicides. Le rapport a également révélé des « niveaux incroyablement élevés » de problèmes de santé mentale chez ces mêmes transgenres.
Une récurrence flagrante qui touche également les homosexuels, quoique de manière un peu moins frappante : 60 % des jeunes homosexuels se sont faits également violence et 25 % d’entre eux ont tenté de se suicider, contre 40 % des élèves transsexuels.
LifeSiteNews est allé interroger l’ancien transgenre américain Walt Heyer qui a fondé le site « Sex Change Regret » et multiplie les démarches publiques pour tenter d’alerter sur cette terrible propagande qui détruit la jeunesse. Pour lui, ces statistiques ne sont pas surprenantes : elles sont fidèles « à tous les pourcentages de suicides et de troubles mentaux signalés chez les personnes transsexuelles depuis 50 ans ». La grande enquête menée aux Etats-Unis, en 2015, par le Centre national pour l’égalité des transgenres (NCTE), avait effectivement rapporté des chiffres similaires, à savoir que près de 40 % admettaient des problèmes de santé mentale graves et 40 % avaient également tenté de se suicider. […]"